Cheykh Kamel Bouzidi
Professeur d'enseignement supérieur à la Faculté des Sciences Islamiques, Université d'Alger
Membre de l'académie du fiqh isalmique à Médine internationale
Membre du Conseil Suprême Islamique d'Algérie
Il
ya toujours une solution de facilité, il y a toujours des
solutions là où il y a des situations qui ne sont pas
illicites.
Le Prophète ( Sallallah Aleyi Wa Salem ), quand il y avait plusieurs possibilités, il choisissait la solution la plus facile, pour enlever la gêne auprès de sa communauté. Par exemple, regrouper les prières, dhor et asr, pour les gens qui travaillent. C'est pour enlever la gêne que cela peut procurer auprès des fidèles de la communauté.
La facilité nous est permise, par exemple, à l'occasion du mois
de jeûne du mois de Ramadhan, nous n'avons pas le droit de
jeuner plus de 24 heures, telque nous l'a prescrit le Prophète (
Sallallah Aleyi Wa Salem ).
L'exemple du celui qui s'occupe de son père qui est très malde et lui apporte des soins intensifs, il lui permis de ne pas assister a la salât juma'a.
C'est aussi le cas de femme enceinte ou qui allaite son bébé, il lui est permis ne ne pas jeûner, mais il faut rattraper les jours d'abstinence en s'aquittant par fidia, donner à manger aux pauvres, ou par une compensation financière.
En ce qui concerne l'allègement des prières, l'imam doit veiller à ce qu'elles ne soient pas trop longues, afin d'éviter une lassitude et une fatigue inutile.
L'accomplissement de la prière est une obligation, la faire à l'heure, c'est une nécessité. Prenons l'exemple d'un médecin chirurgien, doit il laisser le malade ou faire sa prière.
L'exemple du voyageur, il lui est permis de faire sa prière assis dans dans l'avion, le train ou la voiture.