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Le 09 novembre 2019 : Conférence à l'Institut Français de Civilisation Musulmane sur le thème de : « La liberté de conscience chez

Conférence à l'Institut Français de Civilisation Musulmane sur le thème de : « La liberté de conscience chez le Prophète et ce qu’elle est devenue dans le fiqh », par Kassim MOHAMED-SOYIR BAJRAFIL, docteur en linguistique de l'Université Paris7, Islamologue,théologien. 

Intervention de Kamel Kabtane

(Président de l'Institut Français de Civilisation Misulmane) 

Présentation par Hamza Braiki 

 Dans le Coran, il y a cette notion de liberté,  à partir de ce moment là,  si tu as la foi,  tu as cette notion de liberté, sans aucune contrainte.  On qu'il est forcé quelqu'un à croire,  ça n'a aucun sens,  dans ce cas,  c'est de l'hypocrisie. Est ce toi qui va faire à ce que les gens deviennent croyants ? Parce qu'en fait,  tout cela est clairement établi,  les versets qui parlent des hypocrites, dans le Coran, sont nombreux. 

Comment le Coran aborde t-il, les gens qui changent de religion,  il n'y a absolument rien.  Le Prophète ( Sallallah Aleyi Wa Salem ) n'a pas été envoyé pour tuer les gens.  C'est un messager, il nous transmet un message.  Je n'ai pas à vous imposer quoique ce soit. 

 La peine de l'apostasie,  le hadiths s'oppose au plan de la source, qu'elle est la chaîne de transmission ? A  aucun moment le Coran n'aborde cette question.  La notion de l'apostasie est une peine pharaonique.

 Quel est l'esprit dans lequel,  l'islam va se développer dans les empires musulmans.  Quelqu'un qui lit le Coran,  ou qu'il l'interprète,  c'est la compréhension des textes coraniques.  Il faut vraiment que nous soyons ferme là dessus. 

Quand chez les chrétiens,  il y a une lumière,  c'est un bienfaits.  Plus on vit coupé du monde,  moins on est musulman,  plus on vit avecle monde,  plus on est musulman.  Le mot épée n'est pas cité dans le Coran,  le mot guerre est cité 6 fois, tandis que mot paix est cité plus de 130 fois.  

 Récitation du Coran par les élèves de la mosquée et chants religieux, avec la participation des enfants de l'association comorienne de Lyon,