Faire ensemble, vivre ensemble, agir pour la Paix

« Si Dieu l’avait voulu, il aurait fait de vous une seule communauté. Mais il a voulu vous éprouver par le don qu’il vous a fait. Cherchez à vous surpasser les uns et les autres par les bonnes actions. Votre retour à tous se fera vers Dieu, il vous éclairera au sujet de vos différends » (Sourate 48-verset 5).

posté le dimanche 02 juillet 2017

le 02 juillet 2017 : Fêtes consulaires & Fête des bannières du monde 2017, place Bellecour à Lyon

 

 

Du 01/07/17 au 02/07/17 - Samedi 1er juillet : 11h - 21h
Dimanche 2 juillet : 11h - 18h

Un week-end dépaysant en plein coeur de la ville !

Grâce au dynamisme du Corps consulaire de Lyon, riche de plus de 70 consulats, plus de 50 pays vont faire vivre le village international des Fêtes Consulaires pendant 2 jours en exposant toutes les diversités et richesses

des 5 continents du monde qu’ils représentent.

Venez à leur rencontre, partager un moment de convivialité et vibrer sur des rythmes exotiques ou plus traditionnels.
Les associations à vocation internationale, acteurs majeurs du rayonnement de notre territoire dans le monde, vous présenteront également leurs activités.

Venez découvrir un monde festif, coloré et varié alliant folklore, modernité, gastronomie, musiques, danses … Un week-end dépaysant en plein coeur de la ville !

Des surprises et de l’authenticité !

 

Jean Paul Chaudy et un ami venu à Lyon depuis 2 jours 

 

 

  Un programme festif et attrayant

De nombreuses animations pour vous enchanter : défilés de costumes traditionnels ou modernes, découverte d’instruments de musique typiques,  démonstrations de danses, expositions d’artistes peintres, présentation de villes ou régions étrangères …

 

 

  Pas moins de 51consulats participeront aux festivités, plus d'une vingtaine de pays proposeront des spectacles ou animations sur le podium :

Albanie, Algérie, Allemagne, Biélorussie, Belgique, Burkina Faso, Cambodge, Canada, Chine, Corée du Sud, Côte d’Ivoire, Danemark, Équateur, Finlande, Gabon, Grèce, Guatemala, Irlande, Italie, Japon, Kazakhstan, Kosovo, Lituanie, Luxembourg, Madagascar, Malaisie, Malte, Maroc, Mexique, Moldavie, Nicaragua, Niger, Pakistan, Pérou, Philippines, Pologne, Portugal, République Dominicaine, République Tchèque, Roumanie, Russie, Sénégal, Serbie, Slovaquie, Slovénie, Suède, Tchad, Thaïlande, Tunisie, Turquie, Uruguay.

 

 

Des associations à vocation internationale :

AVF International, Université de Lyon, Amis de l’Université, British Council, Jeunes Ambassadeurs de Rhône-Alpes, Lyon International, Lyon Langues, Maison de l’Europe et des Européens Lyon-Rhône-Alpes, Maison de la Francophonie, Pôle Européen et un stand du Corps consulaire de Lyon et de Rhône-Alpes.

 

 

Deux nouveautés pour cette édition 2017

Une nocturne avec le bal à Bistan, un bal gratuit ouvert à tous de 19h à 21h. Ce bal « nouvelle génération » étendra ses gammes de la danse folk collective à la chanson arabe en passant par la valse musette et le tango…

Un food truck offrira tout le week-end de quoi restaurer les voyageurs de la place Bellecour.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 Madame la Consule du Royaume du Maroc Chafika Habti Mawahibi et Fatima Aloui

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Danses traditionelles marocaines 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Antoine Ulrich et Adel Ben Lagha (Consul de Tunisie)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

au centre Özgür Cakar (Consul de Turquie)

 

 

 alors là, ça ne rigole pas !!!

Anne Marie et Simone (Accueillante à Mains Ouvertes)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

A gauche  le Consul du Cambodge et à droite Lixing Zhou

 

 


Commentaires

   Commentaires terminés   Fermer les commentaires
 
0 commentaire
 
 
posté le samedi 01 juillet 2017

le 01 juillet 2017 : Réunion de travail avec des convertis au Conseil Français du Culte Musulman à Paris

 

 

Reviens d'une réunion de travail fructueuse réservée aux "Nouveaux arrivants dans l'Islam" au siège du Conseil Français du Culte Musulman à Paris, en présence d'hommes et de femmes, de jeunes et d'anciens, désireux de travailler sérieusement et harmonieusement pour toutes les questions relatives à notre quotidien de convertis.

 

 En présence de l'ancien et le nouveau président du CFCM,

Anouar Kbibech et Ahmet Ogras

 


 

 


Commentaires

   Commentaires terminés   Fermer les commentaires
 
0 commentaire
 
 
posté le vendredi 30 juin 2017

le 29 juin 2017 : Rencontre Conférence avec Anne Nivat (Grand Reporter,  reporter de guerre,  auteure de : Dans quelle France on v

 

 

 

 

Conférence Rencontre avec Anne Nivat 

(Grand Reporter,  reporter de guerre,  auteure de : Dans quelle France on vit ? Épouse de Jean Jacques Bourdin, journaliste sur RMC)

 

 

 

 

Introduction par Karim Mahmoud Vintam

(Fondateur et délégué général des Cités d'Or)

 

 

Volonté de pas vouloir comprendre l'autre. 

Islamiste,  c'était l'Afghanistan,  le Pakistan et l'Irak

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Grand reporter de guerre,  c'est la quintessence de vouloir comprendre et communiquer avec les autres.  On peut perdre la tête dece que l'on voit et être toujours en quête dd ce que va dure l'autre.  On rencontre toutes sortes de personnes,  des djihadistes,  des combattants de daesh,  et il y a aussi les civils.  C'est le principe de base de tout reporter,  c'est de tout montrer de ce que l'on voit.  Ensuite,  il faut débattre du contexte,  sinon,  on hysterise .

 

 

A ce jour,  aucune des guerres n'est terminées,  que ce soit à Grozny ou à Mossoul,  il n'y a pas de vie apaisée.  Ce que l'autre a me dire a toute son importance.  Il faut adopter une certaine attitude, que ce soit ce barbu à Islamabad ou à Jalalabad au Pakistan,  il faut être respectueux des gens qui acceptent de nous parler,  même si je ne partage pas ses idées. Comment gagner sa confiance, il faut être patient, il faut s'habiller comme le sont toutes les femmes du pays. 

 

 

Que ce soit des chefs dignitaires musulmans ou des prêtres catholiques,  il faut être respectueux du point de vue de chacun,  du fait que les guerres se poursuivent.  Quand les attentats terroristes,  qui sont des actes gravissimes, ici chez nous,  en France et perpétués par des français.  Mon travail,  c'est du terrain,  dans des villes de 50000 habitants,  où il ne se passe rien,  Évreux,  Laval, Lens,  Lons le Saulnier, Montlucon,  Ajaccio,  quand on revient dans son pays qui n'est pas en guerre, je savoure.  Mais je ne m'imaginais pas qu'il y avait en France,  une violence.  Le malaise des jeunes,  de l'emploi,  le sentiment d'insécurité,  le problème d'identité.  

 

 

Comment réconcilier des mondes orientaux et occidentaux.  Il faut aller sur le terrain,  éviter les stéréotypes, même si nous avons amélioré les vecteurs de communication.  Aller d'un quartier à l'autre,  être écouté sans être jugé,  avoir une attitude bienveillante envers ceux qui nous parlent.  J'aime les interviews longues qui durent 4 ou 5 heures,  si je bien connaître les personnes à qui j'ai à faire.  On peut avoir tous les stéréotypes que l'on veut,  même si ce que l'autre a à dire n'est pas valable.  Comment peut on penser que les femmes afghanes vont jeter leurs burkas.

 

 

Le port de la burka, c'est culturel, c'est la liberté des femmes pour aller dans la sphère publique. Et ces femmes afghanes,  c'est aussi pour ne pas être vues.  Qui suis je pour porter un jugement sur cette question vestimentaire ? La plupart des femmes avaient peur de leur liberté. Par l'explication,  on arrive à tout.  En fait,  nous sommes tous les mêmes dans ce genre de situation,  que ce soit à Islamabad ou à Évreux, à Jalalabad ou à Lons le Saunier où j'ai passé la nuit avec les policiers de la BAC. 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La réconciliation est possible,  quand on écoute les gens,  quand on recueille leur parole,  il y avait l'imam Abdullah qui est musulman et puis il y a Soeur Yannicque qui est une religieuse catholique. Discussion avec les élèves et les parents d'élèves,  des mères et des pères en présence de la directrice de cabinet du préfet. C'est une question d'équilibre, mon métier,  c'est d'aller sur le terrain, mais en aucun cas d'imposer une façon de vivre à l'occidentale. 

 

 

Qui peut dire aujourd'hui qu'il y a une victoire militaire ? 
Il faut rester ouverts à ce que disent et pensent les autres, il faut sortir de "l'entre-soit".  Il y a un mot qui est important,  c'est la reconnaissance,  c'est la considération,  c'est le respect que l'on a envers l'autre.  Il y a un mot dont on n'a pas parlé,  c'est la peur, peur de l'autre,  peur du voisin.

 

 

 

  

 


Commentaires

   Commentaires terminés   Fermer les commentaires
 
0 commentaire
 
 
posté le mardi 27 juin 2017

le 27 juin 2017 : Conférence témoignage du Père Gabriel Férone vicaire général de l'Eveché d'Izmir à l'Espace Saint Ignace

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Conférence témoignage du Père Gabriel Ferone

Prêtre à Notre Dame d'Ephèse à Izmir (Smyrne) en Turquie

à l'Espace Saint Ignace.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Présentation de la conférence  par Maryse Laval,

responsable de l'association. 

 

 

 

 

 

 

 

 

Intervention de Monseigneur Emmanuel Payen

(Évêque émérite du Diocèse de Lyon),

représentant le Cardinal Philippe Barbarin

(Archevêque de Lyon,  Primat des Gaules).

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le Père Gabriel Ferone,  est franco mexicain,  vient d'Évry Corbeil Essonne.
Est parti à Izmir à sa demande,  quand il avait 18 ans lors de son premier voyage en Turquie, il a 49 ans maintenant.  La première difficulté,  c'est la langue turque, bien que la langue anglaise est dominante. 

 

 

Le président Atatürk (Mustafa Kemal Atatürk nom pris à partir de 1934 par Mustafa Kemal Paşa, Entérinant la chute d'un Empire ottoman vieux de presque six cents ans, Atatürk, « le Père des Turcs », permet à la Turquie d'entrer dans l'ère moderne en lui imposant des réformes fondamentales reposant sur le principe de la laïcité.) a complètement changé la langue. 

La France a toujours été associée à l'empire Ottoman. 

 

 

Est dans une paroisse qui s'appelle Notre Dame de Lourdes, avec la réplique de la grotte. 
La communauté chrétienne a complètement périclité. Izmir,  est une base de l'Otan, donc avec beaucoup de militaires français avec beaucoup d'enfants. 

Je reçois une vingtaine d'enfants français pour leur enseigner le catéchisme. 

 

 

La cathédrale de la ville d'Izmir a été réouverte, puisqu'elle est dans le centre ville. 
Il y a beaucoup de chrétiens en Turquie,  avec les chrétiens d'orient, des convertis au christianisme.
Voilà 10 ans que je suis dans cette paroisse de Lourdes, avec toutes les difficultés que le pays peut rencontrer.  Le principal problème,  ce sont les kurdes, ils sont 15 millions.

 

 

La Turquie est un pays musulman, et beaucoup de personnes sont devenues chrétiennes.
Les églises en général,  possédaient beaucoup de biens.

Actuellement, beaucoup d'églises sont restaurées pour en faire des musées. 

 

 

Sur les passeports,  c'est indiqué l'identité religieuse. 

L'église catholique n'est pas reconnue en Turquie,  et certains islamistes veulent prendre les biens immobiliers et leurs terrains. 
Izmir est une ville profondément laïque, il n'y a pas de dialogue inter religieux.  En Turquie,  l'islam est une religion entièrement sous le contrôle de l'état. 

 

 


Commentaires

   Commentaires terminés   Fermer les commentaires
 
0 commentaire
 
 
 

Ajouter un commentaire

Pseudo : Réserve ton pseudo ici
Email :
Site :
Commentaire :

Smileys

 
 
 
Rappel article