Faire ensemble, vivre ensemble, agir pour la Paix

« Si Dieu l’avait voulu, il aurait fait de vous une seule communauté. Mais il a voulu vous éprouver par le don qu’il vous a fait. Cherchez à vous surpasser les uns et les autres par les bonnes actions. Votre retour à tous se fera vers Dieu, il vous éclairera au sujet de vos différends » (Sourate 48-verset 5).

posté le jeudi 25 avril 2019

le 25 avril 2019 : Soirée-débat D’Abu Dhabi à Rabat : vivre la fraternité humaine en étant levain dans la pâte par le père Vi

 

 

 

 LA BELLE PORTE Diocèse de Lyon 22 rue Godefroy 69006 LYON Métro Foch   Soirée-débat   Jeudi 25 avril 2019          

D’Abu Dhabi à Rabat : vivre la fraternité humaine en étant levain dans la pâte     

par le père Vincent FEROLDI  

Directeur du Service national pour les relations avec les musulmans (SNRM) de l’Eglise catholique en France 

 

 

 Deux événements se sont passés ces derniers jours,  d'abord l'incendie de la toiture de Notre Dame de Paris et la tuerie dans des églises au Sri Lanka faisant 359 morts. Un  impensable pour les Sri Lankais. C'est le contexte de l'immédiateté. 

 

 

Deuxième phénomène qui nous marque le wahabisme qui remontent au 18 ème siècle,  il va y avoir une quête identitaire,  on va prendre quelques éléments de notre quotidien,  c'est un phénomène sociétal. 

 

 

La quête identitaire n'est pas liée seulement  aux musulmans, par le vêtement,  par la nourriture. Et puis il y a le populisme,  ces phénomènes sont bien présents dans notre actualité.   

 

 

 Il faut vivre la culture de la rencontre et l'ouverture du cœur avec le 800 ème centenaire de la rencontre de Saint François d'Assise et du Sultan a Damiete en Égypte.  

La fraternité humaine dans la culture de la rencontre. C'est le don de la sagesse divine,  qui fait la fraternité humaine des religions. 

 

 

Au nom de Dieu qui a créé les êtres humains égaux en droit,  en devoir et en dignité.  La fraternité humaine, c'est ce qui nous lie notre foi en Dieu.  Notre priorité première est de vivre la fraternité.  

 

 

 

 

 

  
 


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posté le mercredi 24 avril 2019

le 24 avril 2019 : Commémoration régionale et républicaine à Lyon du 104ème anniversaire du Génocide des martyrs Arméniens de 1915

 

 

 Commémoration régionale et républicaine à Lyon du 104ème anniversaire du Génocide des martyrs Arméniens de 1915.

Organisé par CCAF Centre Place Antonin Poncet à Lyon 2 ème 

 

 

 "Venez nombreux, avec vos amis et les amis de vos amis.

 

Le C.C.A.F. Centre France vous invite à LYON à la commémoration régionale et républicaine du 104e anniversaire du Génocide des martyrs Arméniens de 1915. à 15h30, après l'office religieux organisé par les 3 églises arméniennes, nous nous rassemblerons devant l’église apostolique «Sourp Hagop / Saint-Jacques » (295, rue André Philip à l'angle de la rue d'Arménie - LYON 3ème) pour défiler jusqu'au Mémorial Lyonnais des Génocides (place Antonin Poncet - LYON 2ème).

Cette Marche pour la Justice fera une halte Pont WILSON pour rendre hommage au Prix Nobel de la Paix et Président des Etats-Unis, Woodrow WILSON.

 

 

 A 17h30, place Antonin Poncet, les personnalités se recueilleront en déposant une gerbe et nous démarrerons la cérémonie officielle de la commémoration régionale et républicaine.

 

Hommages spéciaux au Père KOMITAS, à Charles AZNAVOUR et à Michel LEGRAND : le salut par sa voix, sa musique, son art.

104 ans que l’État turc a décidé, organisé, appliqué et exécuté méthodiquement un crime imprescriptible sur ses sujets arméniens, dépositaires indigènes et autochtones d’une civilisation multi-séculaire.

Et aussi 104 ans que l’État turc, impuni, continue à nier son crime de Génocide et désormais exporte sa violence jusque chez nous.

Dans le débat républicain, notre devoir de transmission s’impose aux

 

 

générations successives comme une pédagogie et une grille de lecture du monde d’aujourd’hui.

Et nul doute que la négation du crime par son auteur exige Justice et Réparations à l’égard des descendants de victimes.

 

 

 

 

 

 

 

  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  
 


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posté le jeudi 18 avril 2019

le 18 avril 2018 : Conférence débat « La libre pensée dans le Monde arabo-musulman d’hier et d'aujourd'hui » organisé par le Foru

 

 

 Conférence débat « La libre pensée dans le Monde arabo-musulman d’hier et d’aujourd’hui » organisé par le Forum de solidarité Euro-Méditerranée par le Professeur Hamadi Redissi.(Professeur de sciences politiques à l’Université de Tunis. Il est l’auteur de nombreux ouvrages et études sur le monde arabo-musulman rédigés dans une perspective comparative et pluridisciplinaire (histoire, théorie et sociologie politiques). À la Maison des passages 44, rue Saint-Georges 69005 Lyon

 

 

 Les Omeyyades ou Umayyades  sont une dynastie arabe de califes qui gouvernent le monde musulman de 661 à 750. Ils sont originaires de la tribu de Quraych, qui domine La Mecque au temps de Mahomet.

 

 

 

 

 

 

 

 

 À la suite de la guerre civile ayant opposé principalement Muʿāwiyah ibn ʾAbī Sufyān, gouverneur de Syrie, au calife ʿAlī ibn ʾAbī Ṭalib, et après l'assassinat de ce dernier par les Khawarij, Muʿāwiyah fonde le Califat omeyyade en prenant Damas comme capitale, faisant de la Syrie la base d'un Califat qui fait suite au Califat des biens guidés et qui devient, au fil des conquêtes, le plus grand État musulman de l'Histoire. 

 

 

 

 Ainsi, les successeurs de Muʿāwiyah Ier étendent les frontières du Califat de l'Indus jusqu'à la péninsule Ibérique, entrant en guerre à plusieurs reprises notamment avec l'Empire byzantin et l'Empire khazar, et faisant disparaître le Royaume wisigoth. Les Omeyyades vont même au-delà des Pyrénées avant d'être arrêtés par le duché d'Aquitaine à la bataille de Toulouse (721) puis par Charles Martel à la bataille de Poitiers (732). Des guerres intestines les obligent à rebrousser chemin

 

 

 Devant une expansion aussi importante et l'incorporation de populations non-musulmanes toujours de plus en plus nombreuses, des problèmes d'assimilation, mais aussi de financement, ne tardent pas à se manifester. Les non-musulmans (chrétiensjuifszoroastriens, etc.) jouissent d'une relative liberté de culte et d'une large autonomie judiciaire, mais ils sont soumis à l'impôt de la ǧizyah en compensation de leur exemption du service militaire.

 

 

 Étant donné l'expansion rapide, la plupart des fonctionnaires byzantins sont reconduits à leur poste après l'incorporation au Califat. Cette tolérance religieuse permet d'assurer une stabilité dans la Syrie, majoritairement chrétienne et fief des Omeyyades, mais d'autres provinces connaissent des troubles récurrents qui poussent à bout les finances de l'État afin de pacifier des régions souvent éloignées, mettant en danger une stabilité politique difficile sur un aussi vaste territoire.

 

 

 Ces troubles sont souvent dus à une inégalité sociale entre les musulmans arabes et les populations conquises, mais également entre tribus arabes rivales.

 

 

 Vers 746 sort du silence au Khorassan un mouvement assez hétéroclite, dirigé par les Abbassides, qui finit par faire chuter et remplacer le Califat omeyyade après la bataille du Grand Zab, en 750. À la suite de cette bataille, la plupart des membres de la dynastie omeyyade sont tués, mais l'un de leurs survivants s’installe en al-ʾAndalus et fonde un nouvel État à Cordoue, cinq ans plus tard.

 

 

Sous les Omeyyades, l'aire de répartition de l'arabe se voit multipliée. De célèbres bâtiments, comme le dôme du Rocher ou la Grande mosquée des Omeyyades, sont construits pendant leur règne. Cependant, les califes omeyyades, à l'exception notable de ʿUmar II, souffrent d'une mauvaise réputation dans l'historiographie chiite. Les adversaires des Omeyyades leur reprochent principalement d'avoir transformé, selon eux, le califat d'une institution religieuse en une institution dynastique et héréditaire, mais aussi d'avoir versé le sang de la famille du Prophète, toujours selon leurs adversaires chiites. Le nationalisme arabe considère la période omeyyade comme une partie de l'âge d'or arabe, qu'il aspire à restaurer. 

  
 


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posté le mardi 09 avril 2019

le 08 avril 2019 : Représentation de la pièce de théâtre « Pierre et Mohamed » à la Faculté Catholique Campus Saint Paul 10 Place

 

 

 

 

 Représentation de la pièce de théâtre « Pierre et Mohamed » à la Faculté Catholique Campus Saint Paul 10 Place des Archives à Lyon 

 

 

Le texte de la pièce Pierre et Mohamed, jouée pour la première fois en 2011.

Écrite par un jeune dominicain Adrien Candiard nourri par la prédication de Mgr Pierre Claverie, l’ancien évêque d’Oran, elle raconte la vie et les combats de ce dernier et son amitié avec Mohamed, un jeune musulman algérien, jusqu’à leur assassinat le 1er août 1996.

 

 Pierre et Mohamed 1er août 1996 : Mgr Pierre Claverie, dominicain et évêque d’Oran, et Mohamed Bouchikhi, son jeune chauffeur musulman, sont assassinés. A partir des homélies de Pierre et du carnet de route de Mohamed, le frère dominicain Adrien Candiard écrira cette pièce de théâtre, hommage au message de tolérance et d’amitié des deux hommes.

 

 

 

 

 

 

 

 

 le Père Max Bobichon, Monseigneur Jean Paul Vesco

et le Père Christian Delorme 

 

 

 

 

 

 

 le Père Max Bobichon (Président fondateur de l'association "Les Fils d'Abraham") 

et le Père Thierry Magnin (Recteur de l'Université Catholique de Lyon) 

 

 

 

 

 

 

Intervention du Père Max Bobichon 

 

 

 

 

 

 

 Soirée exceptionnelle proposée en faveur des bourses étudiantes Chaque année, l’UCLy récompense ses étudiants les plus méritants et en situation financière difficile en leur octroyant les bourses Accueil et Poursuite d’études. Elle les aide ainsi à poursuivre leurs études dans les meilleures conditions. Financé grâce à la générosité des particuliers et des entreprises, le dispositif a permis, cette année encore, d’offrir des bourses à 79 étudiants. Convaincue de l’importance de former la personne humaine dans sa globalité, l’Université Catholique de Lyon témoigne ainsi de sa préoccupation majeure pour l’égalité des chances. 

 

 

 

Intervention de Benoit Froment  

 

 

 

 

 

 

La mise en scène de Francesco Agnello dévoile par sa sobriété toute la force de ce message, porté par le jeu admirable du comédien qui interprète les deux personnages, et rythmé par un hang, instrument de percussion. 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  
 Dialogue interreligieux : vers une confiance partagée ? Le 8 décembre dernier était célébrée à Oran la béatification des 19 martyrs d’Algérie, parmi lesquels Mgr Claverie. Ce message de tolérance est ainsi plus que jamais d’actualité, et entre en forte résonance avec les travaux de l’UCLy sur le dialogue interreligieux. Cette représentation est donc l’occasion d’organiser une table ronde sur le thème du dialogue interreligieux autour de 4 intervenants du monde chrétien et musulman.
Monseigneur Jean Paul Vesco (Eveque d'Oran)
Michel Younès (Professeur de Théologie, Directeur du Centre d'Etudes des Cultures et des Religions)
Réda Kadri (Imam et membre des Fils d'Abraham)
Christian Delorme (Prêtre du Diocèse de Lyon, Délégué épiscopal en charge des relations Interreligieuses) 

Animation : Jean-Baptiste Cocagne, journaliste RCF Lyon

  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  
 


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