Faire ensemble, vivre ensemble, agir pour la Paix

« Si Dieu l’avait voulu, il aurait fait de vous une seule communauté. Mais il a voulu vous éprouver par le don qu’il vous a fait. Cherchez à vous surpasser les uns et les autres par les bonnes actions. Votre retour à tous se fera vers Dieu, il vous éclairera au sujet de vos différends » (Sourate 48-verset 5).

posté le samedi 10 juin 2017

le 08 juin 2017 à l'ENS Conférence-débat « Israël-Palestine Une paix négociée est-elle possible ? » avec Jean-Paul Chagnollaud

 

 

 Jeudi 8 juin 2017 à 18h30 Conférence-débat « Israël-Palestine Une paix négociée est-elle possible ? »


Avec Jean-Paul Chagnollaud, Professeur de sciences politiques à l'université de Cergy-Pontoise, et spécialiste de la question palestinienne. Il est le rédacteur en chef de la revue Confluences Méditerranée et directeur de la collection Comprendre le Moyen-Orient chez L'Harmattan.

Modérateur : Denis Marx , Membre de FORSEM et de RAJA-TIKVA (association d’Amitiés Arabo-Juives en Rhône-Alpes)    

 

 

 "L'Initiatie de Genève, ou Accord de Genève, est un plan de paix alternatif établi par les anciens partenaires des négociations de Taba pour résoudre le conflit israélo-palestinien. Elle est signée le 1er décembre 2003 à Genève. Les principaux artisans de cet accord sont l'ancien ministre israélien Yossi Beilin et l'ancien ministre palestinien Yasser Abd Rabbo, sous l'impulsion d'Alexis Keller, professeur ordinaire à l’université de Genève, directeur du département d'histoire du droit et des doctrines juridiques et politiques (domaines d'activités : histoire du droit constitutionnel, histoire du droit international, histoire de la pensée juridique et politique, philosophie et sociologie du droit)."

 

 

 Conférence de Jean Paul Chagnollaud sur le Conflit Israëlo-Palestinien, une paix,  est elle négociable ?

   

Présentation de la soirée par Denis Marx,

membre de l'association Raja-Tikva, association d'amitié Arabo-Juive
(ce qui signifie "espérance" en arabe et en hébreu).
 
Cette conférence s'inscrit dans le cadre du 50 ème anniversaire
de la guerre des 6 jours en 1967. 

 

 

 

 

 

 

 

 

 Les palestiniens sont sortis de l'histoire depuis 1948,  en passant par les périodes des accords d'Oslo, les accords de Camp David,  l'arrivée d'Ariel Sharon.  

 

 

 3 mots  : "Domination,  Démission,  Division".  

 

Domination des forces politiques et religieuses,  valeurs de nationalisme et d'idéologie.  Le rapport de nature coloniale très méprisante des palestiniens.  En Israël,  le parti de gauche a mis plusieurs années a ne plus avoir de majorité.  50 ans correspond à 2 générations,  qui ont connu le basculement vers l'occupation. Il y a la domination territoriales des colonies israéliennes a beaucoup de poids.  

 

 

 Démission de qui ?  De la communauté internationale,  de 2001,  c'est une démission accentuée avec beaucoup de résonances.  Avec les attentats du 11 septembre 2001 à New York.  Les conséquences,  c'est que la communauté internationale avec la fameuse feuille de route,  qui était une coquille vide.  Les différents présidents américains n'ont rien fait.  L'Europe,  c'est une minute de silence. En France,  depuis 1967, sous le Général de Gaulle, il y avait une réaction.  En 2016,  la France a voulu lancer une conférence internationale qui voulait redire une commission  à deux états.

 

 

 Ce qui veut dire,  que ce qui s'est passé il y a 50 ans, rien ne s'est passé.  Un texte passé au Conseil de Sécurité à l'ONU, voté par quelques états.  Ça n'a plus beaucoup de sens,  ça montre l'impuissance de la communauté internationale,  c'est une démission caractérisée.  Nous sommes dans un sujet très sensible et très délicat,  surtout avec l'arrivée de Donald Trump.  C'est une démission qui est grave.  Si on revient avec l'union européenne,  cette inaction,  cette passivité,  surtout en France,  produit des conséquences qui viennent à l'encontre de nos intérêts. 

 

 

La division des palestiniens,  elle est historique,  c'est une implosion,  c'est une fragmentation du peuple palestinien.  Une des conséquences de 1967,  c'est l'unité.  Yasser Arafat devient leur leader en 1969.  Malheureusement depuis 2001 et plus particulièrement depuis 2004,  année de la mort de Yasser Arafat,  c'est la division.  Il y a des divisions internes,  entre le Hamas et le Fatah 

 

 

 La politique palestinienne s'est coupée de sa jeunesse. 

On a le sentiment que c'est un conflit oublié. Il n'y a pas de statut-quo, il y a une situation qui se détériore.  On ne peut pas imaginer que la situation puisse s'améliorer.  C'est un conflit colonial d'un autre âge, c'est quelque chose de grave.  La solution à 2 états est encore possible.  La France peut jouer un rôle important dans ce conflit. 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


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posté le vendredi 09 juin 2017

le 08 juin 2017 : Commémoration de la Journée Nationale en hommage aux "Morts pour la France" en Indochine

 

 

Jeudi 8 Juin Journée Nationale en hommage aux "Morts pour la France" en Indochine
 
A l'occasion de la journée nationale d'hommage aux" Morts pour la France" en Indochine  

Henri-Miche COMET (Préfet de la Région Auvergne-Rhône Alpes préfet de la zone de défense et de sécurité Sud-Est) 

Gérard COLLOMB (Sénateur-Maire de Lyon Président de la Métrople de Lyon), et depuis quelques jours, Ministre de l'Intérieur

vous prie de bien vouloir honorer de votre présence la cérémonie organisée le 8 Juin 2017 à 11h00 au Jardin du Combattantd'Indochine-Boulevard Ambroise Paré à Lyon 8 ème

avec le concours de la mairie du 8 arrondissement et des associations regroupées au sein du comité d'entente de Lyon des anciens combattants d'Indochine

DEROULEMENT DE LA CEREMONIE DU 8 JUIN

9H30 :   Office religieux en l'église de la St Trinité

10h30 :   formation du cortège derrière  les drapeaux

10h45 :  mise en place au jardin du combattant d'Indochine

Boulevard Ambroise Paré Lyon 8 èm

10h50 :  arrivée des autoritées - cérémonie

 

 

 Lecture de l'Epitre par Roger Dague

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Roger Dague et le prêtre de la Paroisse de la Sainte Trinité 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 Allocution de Jean Dominique Durand

(Adjoint au Maire de Lyon)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Allocution de Caroline Gadou

(Sous Préfète)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


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posté le dimanche 04 juin 2017

le 04 juin 2017 : 1 ère Conférence du Ramadan à la Mosquée Othmane avec Cheykh Mohamed Minta (Imam de la Mosquée de Décines)

 

 

1 ère Conférence du Ramadan à la Mosquée Othmane

avec Cheykh Mohamed Minta (Imam de la Mosquée de Décines-Charpieu) dont le thème est : "Ramadan le mois du pardon" 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 Bismillah Arhamane Arhahim.  La miséricorde d'Allah ( Soubhanallah Wa ta Allah ) est immense.  Il nous a fait descendre cette miséricorde,  non seulement pour le monde,  les annimaux , les plantes et pour les croyants.

Chaque moment,  chaque instant,  devrait être consacré à adorer Allah. 

 

 

 Est ce que chaque heure,  chaque minute,  nous la consacrons à adorer Allah ?

Pourtant,  je t'ai donné la vie,  je t'ai donné la santé,  alors que fais tu pour ta mission à l'égard de Dieu.  Dieu nous pardonne nos manquements et nos erreurs, pas seulement nos péchés,  et Dieu sait combien nous en commettons.  Les 5 prières quotidiennes,  du vendredi au vendredi.

 

 

 Celui qui jeûne pendant le mois de Ramadhan,  motivé par la foi,  aura ses péchés pardonnés.  Je jeûne permet de pardonner,  la prière nocturne permet de pardonner.  

L'haleine du jeûneur, est plus agréable que celui qui n'a pas jeûner. 

 

 

 Implorent le pardon d'Allah jusqu'à la rupture du jeûne.  Les anges,  ceux qui portent le trône d'Allah,  implorent le pardon d'Allah.   Chaque jour,  Allah ( Soubhanallah Wa ta Allah ) embellit les portes du paradis.  On enchaîne le rebelle auprès du shaytan.  Le salaire qu'Allah réserve au jeûneur,  c'est le pardon.  Les anges implorent le pardon.  Quand on dit : "Amine", cela fait parti du pardon.  Le pardon,  c'est le visa pour rentrer au paradis.  Aucun d'entre nous n'aura accès au paradis,  sans le pardon d'Allah, sauf s'il nous adresse sa grâce et sa miséricorde. 

 

 

 Allah nous demande,  "hatez vous de demander le pardon avant d'entrer au paradis". Il y a le marché du paradis,  tout ce que l'âme désire,  on le trouve dans ce marché.  En récitant Al shahada, notre profession de foi,  nul ne peut être adoré en dehors d'Allah.  Allah aime que nous nous pardonnons entre nous,  même si quelqu'un nous a fait du mal.  Il faut toujours pardonner, même à celui qui m'agresse.  Sachons pardonner et Allah nous pardonnera.  

 

 

 

 

 

 


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posté le dimanche 04 juin 2017

le 04 juin 2017 : "Non à la censure, oui à la liberté d'expression" au Centre Tawhid avec l'Union des Jeunes Musulmans. 

 

 

 "Non à la censure, oui à la liberté d'expression" au Centre Tawhid avec l'Union des Jeunes Musulmans. 

Avec Cheihk Mohamed Minta (Imam de la Mosquée de Decines),

Yamine Makri (Président des éditions Tawhid)

et le Professeur Hani Ramadan en viio conférence depuis Genève (Suisse)

 

 

 

 

 Récitation coranique

 

 

 Sur décision du Ministre de l'intérieur,  le Professeur Hani Ramadan est interdit de territoire français. 

 

 

 Intervention de Syria Charity, et diffusion d'une vidéo

 

 

 

 

 

 

 

 

 Intervention de Cheihk Mohamed Minta

 

 

 La liberté d'expression,  l'islam est une religion pour libérer l'homme et de la servitude des hommes.  L'islam est une religion qui apporte la liberté totale à l'homme.  La foi,  la croyance,  Allah ( Soubhanallah Wa ta Allah ) n'a pas voulu imposer la croyance aux hommes,  il a donné la liberté totale aux hommes. 

 

 

L'islam garanti la liberté d'expression aux hommes,   à condition de ne pas transgresser cette liberté. Allah a appris à l'homme,  à s'exprimer clairement à condition que l'honneur et la dignité soit respecté.  

 

 

 Le système social en islam est basé sur la liberté d'expression.  Il est dit,  consultez vous dans vos affaires. En islam, on a le droit de pouvoir exprimer son opinion. 

 

 

 Le Prophète ( Sallallah Aleyi Wa Salem ),  incitait ses compagnons à s'exprimer en toute liberté.  Ce que n'avons pas le droit, en islam,  c'est de porter atteinte à ceux qui veulent exprimer leurs opinions.  La seule chose que l'islam condamne,  c'est la diffamation.  

 

 

 

 

Intervention de Yamine Makri.  

 

 

Le cas de notre frère Hani Ramadan,  est une situation grave. Quand on parle de liberté d'expression,  quand on laisse le choix,  quand on veut témoigner de Dieu sur la place publique,  on trouve toujours des occasions pour interdire la possibilité de pouvoir s'exprimer. 

 

 

 La Taqwa,  on ne peut pas vivre dans ce monde sans parler de cette piété,  de l'origine. Dans toutes choses,  il y a une origine.  L'état d'urgence actuellement fait sauter le pouvoir judiciaire. 

 

 

 On est soumis aux directives de la police.  Ici en France,  on restreint la liberté d'expression.  Le désaccord n'interdit pas l'injustice.  Nous musulmans,  nous ne devons pas accepter cela.

 

 

 Si il n'y a pas de liberté d'expression,  il n'y a pas de liberté de témoigner en Dieu.  L'être humain,  quand il est libre,  il va vers Dieu.  

 

 

 

 

 Intervention du Professeur Hani Ramadan en vidéo conférence. 

 

 

 On me reproche  certaines de mes interventions qui datent de 2002, 

il y a 15 ans.  

Je me suis toujours opposé à la lapidation des femmes,  notamment en Iran et au Nigeria

 

 

 On me reproche de comparer la femme à une pièce de 2 euros,  qui passe de mains en mains. 

 

 

La censure est une contrainte à la liberté d'expression.  L'usage des mots et l'usage de certaines expressions,  sont réductrices par rapport à l'islam.  

 

 

 Les musulmans sont appelés à vivre la laïcité.  Nous nous engageons,  nous, musulmans à vivre un dialogue constructif.

A la censure,  il faut opposer la diffusion.    

 

 

 

 


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