A Lyon, où le défilé a pris du retard au démarrage, de nombreux militants prenaient le micro sur une camionnette en tête de cortège en scandant «Israël assassin».
Le défilé, qui est parti de la place Bellecour pour rejoindre la place des Terreaux était organisé par le «collectif 69 de soutien au peuple palestinien».
A 17 heures, alors que
le cortège revenait vers la place Bellecour, aucun incident n’était à
déplorer.
De nombreux jeunes, dont des femmes voilées, portaient le drapeau
palestinien ou des keffieh sur les épaules, ou des t-shirt verts où l’on
pouvait lire «Boycott Israël».
Conférence-débat à la Mosquée Bilal à Saint Fons,
sur le thème : « La purification des cœurs »
par Cheykh Mohammed Minta ( diplômé de l’université islamique de Médine, directeur des sciences religieuses au lycée Al Kindi et imam de la mosquée de Décines . Il est également auteur de plusieurs ouvrages portant sur la spiritualité Musulmane).
Conférence-débat à l'Espace Jean Couty, 56 rue Sergent Michel Berthet à Lyon 9ème,
à l'initiative de L'Union Française des consommateurs Musulmans (UFCM)
sur le thème : « Revenir à Dieu dans la société de l'oubli »,
avec les interventions
de Khaled Al Shouli, président du Comité de bienfaisance et de secours aux Palestiniens (CBSP)
du Professeur Mourad Hamza (imam de la Mosquée Rahma d'Arles, consultant en gestion financière à Aix-en-Provence en semaine)
et du Cheykh Zakaria Seddiqi (Président de l'ACERFI (Audit Conformité Et Recherche en Finance Islamique), docteur en science islamique de l'université d'Al Azhar, directeur de la Maison des savoirs et l'IMED (Institut Musulman d'Enseignement à Distance).
Récitation du Coran
Khaled Al Shouli,
Khaled Al Shouli,
Khaled Al Shouli,
Khaled Al Shouli
Mourad Hamza
Mourad Hamza
Mourad Hamza
Mourad Hamza
Mourad Hamza
Mourad Hamza
Mourad Hamza
Mourad Hamza
Récitation du Coran
Cheykh Zakaria Seddiqi
Cheykh Zakaria Seddiqi
Cheykh Zakaria Seddiqi
Cheykh Zakaria Seddiqi
Cheykh Zakaria Seddiqi
"L'iftar ", un repas partagé avec un Rohyngias et sa fille rescapés,
à l'initiative de « Education en Héritage et community organizing »
au Caravansérail Café 150 rue du 4 août à Villeurbanne,
information de la situation en Birmanie
et découvrir l'histoire de cette famille avec Faycal
Les Rohingyas sont aujourd’hui victime d’exactions qui reflètent les préjugés xénophobes de la majorité de la population à l’égard de cette minorité musulmane.
Et, plus profondément, la persistance d’une conception raciale de la nation en Birmanie.
En finir avec les Rohingyas. C’est le souhait de certains bouddhistes birmans. Pour cela, une idée qui ne va pas dans le sens de la paix, bien au contraire, a été récemment proposée à l’occasion d’une Conférence dans l’Etat d’Arakan dans le canton de Kyawkphyu. Cette conférence a été le plus grand rassemblement des représentants de l’Etat d’Arakan.
A la suite de ces discussions qui ont duré cinq jours, des bouddhistes ont fait pression auprès du Gouvernement pour leur permettre de monter une armée afin de combattre efficacement la minorité musulmane persécutée, les Rohingyas.
Des personnalités politiques du pays ont participé à ces discussions notamment le Ministre du Bureau du Président, Aung Min.
L’initiateur de ce projet d’une « armée d’Arakan de défense nationale » est Buthidaung Tun Aung Thein. Selon lui, cette armée d’Arakan permettrait de « protéger les résidents bouddhistes des communautés musulmanes ». « Notre armée d’Arakan a dit être prête à servir son peuple » a précisé Tun Aung Thein.
Cette idée absurde et effrayante d’une armée dans l’Etat d’Arakan ne peut que nous inquiéter davantage sur la situation des Rohingyas déjà bien tragique.
Des forces de l’ordre (armée, police, etc) sont déjà présents dans la région. Ils sont accusés d’être complices dans le nettoyage ethnique des Rohingyas.
Des ONG ont accusé des groupes arakanais et les autorités de l’Etat d’organiser et de mener une campagne de violence contre les Rohingyas.
Une armée de plus ne viendrait qu’empirer le sort d’un des peuples les plus persécutés au monde.
Et pour l’instant, la communauté internationale reste paralysée.
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