Conférence-débat sur le thème : « L'Hégire, Sens et Enseignements »
à la Mosquée Ar Rahame de Décines-Charpieu en présence
de Farid Slim, (imam à la mosquée de Chambéry le Haut).
Faire sa hijra implique aussi un dépassement de soi, un cheminement profond pour rompre avec toute forme d’aliénation
s’éloigner du mal et des péchés, des idoles modernes
se désolidariser du mensonge, des modes de vie sans éthique, du matérialisme ambiant….
La hijra pour Dieu implique bien des questions et interpelle l’intelligence mais surtout l’âme et le cœur du croyant. Mouvement spirituel, elle doit pouvoir trouver une expression embrassant tous les aspects de l’être humain (comportemental, social…).
2ème Congrès des savants, conférence-débat sur le thème : «Le juste milieu en Islam. »,
à la Grande Mosquée Khaled Ibn Walid rue Honoré Petetin à Givors (Rhône) en présence d'Abdelwahad Bourekhis (Imam de la Mosquée de Givors),
de cheykh Mohamed Minta, (diplomé en sciences religieuses de l'université de Médine, imam de la mosquée de Décines, auteur de plusieurs ouvrages sur la spiritualité )
et cheykh AbdelAllah Alshoreka (imam de la Mosquée Douaila au Koweit, Master des Hadiths, Licence Oussoul El Din).
cheykh AbdelAllah Alshoreka
Abdelwahad Bourekhis
cheykh AbdelAllah Alshoreka
Abdelwahad Bourekhis
cheykh AbdelAllah Alshoreka
Abdelwahad Bourekhis et cheykh AbdelAllah Alshoreka
Abdelwahad Bourekhis et cheykh AbdelAllah Alshoreka
cheykh Mohamed Minta
cheykh AbdelAllah Alshoreka
cheykh Mohamed Minta
cheykh AbdelAllah Alshoreka
cheykh Mohamed Minta
Rencontre-Conférence-débat sur le thème :
« Les paradoxes du Levant. Guerres épées et jamais la Paix en Terre Sainte, Pourquoi ? »
à l'initiative SOS Chrétiens d'Orient, à la salle Saint Irénée de l’Église Byzantine, 20 rue Sala à Lyon 2ème, en présence de
Anne Lise Blanchard (présidente de SOC Chrétiens d'Orient) et
Geneviève et Jean Claude Antakli (écrivain, biologiste franco-syrien)
Anne Lise Blanchard
Anne Lise Blanchard
Anne Lise Blanchard
Jean Claude Antakli
Geneviève Antakli
Jean Claude Antakli
Geneviève Antakli
Jean Claude Antakli
Geneviève Antakli
Geneviève et Jean Claude Antakli
Jean Claude Antakli
Geneviève Antakli
Jean Claude Antakli
Café débat sur le thème : «Voyage vers l'enfer. Ex-prisonnier à Guantanamo, Jihadisme, fantasme ou réalité »
au Café de la Paix, 17 place de la Paix à Vénissieux avec
Mourad Benchellali
(ancien détenu de Guantanamo pendant deux ans et demi, témoigne aujourd’hui, à 33 ans, pour prévenir les jeunes de la tentation jihadiste).
Je suis né en 1981 à Vénissieux, où j’habite encore. J’ai grandi dans un quartier qui doit sa notoriété au chômage, à l’exclusion, au racisme, aux premières révoltes urbaines des années 1980, d’où est partie la Marche pour l’égalité de 1983.
En 2001, je suis parti en Afghanistan. L’ennui, le besoin d’évasion, l’envie de voir au-delà d’une forêt de tours en guise d’horizon, un imaginaire forgé par le cinéma américain, et toute la naïveté de mes 19 ans m’ont convaincu d’entreprendre ce voyage à l’instigation d’un de mes proches.
Dès mon arrivée au Pakistan, j’ai tout de suite été accueilli et pris en charge avec d’autres jeunes comme moi en provenance du monde entier. Quelques jours plus tard, nous traversions la frontière pour nous retrouver dans un camp, au beau milieu du désert, près de la ville de Kandahar : Camp Farouk, un camp d’entraînement militaire tenu par les talibans.
À mes premières protestations, il me fut répondu que cela se passait comme ça ici, que tous les jeunes qui venaient en Afghanistan devait passer six semaines dans ce type de camp. À l’époque, les talibans n’étaient qu’une des nombreuses factions qui se disputaient le pouvoir dans le pays. De la même manière que ceux du camp d’en face, leurs besoins en combattants ne faiblissaient pas et ils recrutaient constamment partout où c’était possible.
Personne ne parle jamais de cette face cachée de la guerre qui existe
pourtant depuis toujours : il est très facile de se retrouver embrigadé
et avec une arme à la main sans pourtant l’avoir cherché. Rappelez-vous
les combats dans le bocage normand avec ces gamins aux yeux bridés des
confins de l’URSS sous uniforme allemand, trop heureux de se rendre aux
militaires américains.
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