Faire ensemble, vivre ensemble, agir pour la Paix

« Si Dieu l’avait voulu, il aurait fait de vous une seule communauté. Mais il a voulu vous éprouver par le don qu’il vous a fait. Cherchez à vous surpasser les uns et les autres par les bonnes actions. Votre retour à tous se fera vers Dieu, il vous éclairera au sujet de vos différends » (Sourate 48-verset 5).

posté le samedi 20 décembre 2014

le 20 décembre 2014 : Conférence-débat sur le thème : « L'Hégire, Sens et Enseignements » à la Mosquée Ar-Rahmane de Décines

 

 

Conférence-débat sur le thème : « L'Hégire, Sens et Enseignements »

à la Mosquée Ar Rahame de Décines-Charpieu en présence

de Farid Slim, (imam à la mosquée de Chambéry le Haut).

 

 Faire sa hijra implique aussi un dépassement de soi, un cheminement profond pour rompre avec toute forme d’aliénation

 

 s’éloigner du mal et des péchés, des idoles modernes

 

 se désolidariser du mensonge, des modes de vie sans éthique, du matérialisme ambiant….

 

 La hijra pour Dieu implique bien des questions et interpelle l’intelligence mais surtout l’âme et le cœur du croyant. Mouvement spirituel, elle doit pouvoir trouver une expression embrassant tous les aspects de l’être humain (comportemental, social…).

 

  Il s’agit pour le croyant de se mouvoir de l’insouciance et l’oubli vers le souci de Dieu, de la vie dernière et de la condition humaine ; de la paresse et la réactivité vers l’action réfléchie et méthodique ; de l’individualisme et l’égocentrisme vers l’amour d’autrui ; du mimétisme culturel vers la création et l’innovation : en d’autres termes, elle implique une véritable exhortation à se libérer.

 

 


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posté le samedi 20 décembre 2014

le 20 décembre 2014 : 2ème Congrès des savants, conférence-débat sur le thème : «Le juste milieu en Islam. », à la Grande Mosquée

 

 

2ème Congrès des savants, conférence-débat sur le thème : «Le juste milieu en Islam. »,

à la Grande Mosquée Khaled Ibn Walid rue Honoré Petetin à Givors (Rhône) en présence d'Abdelwahad Bourekhis (Imam de la Mosquée de Givors),

de cheykh Mohamed Minta, (diplomé en sciences religieuses de l'université de Médine, imam de la mosquée de Décines, auteur de plusieurs ouvrages sur la spiritualité )

et cheykh AbdelAllah Alshoreka (imam de la Mosquée Douaila au Koweit, Master des Hadiths, Licence Oussoul El Din).

 

 

 

 

 

 cheykh AbdelAllah Alshoreka

 

 Abdelwahad Bourekhis 

 

 cheykh AbdelAllah Alshoreka

 

 Abdelwahad Bourekhis

 

 cheykh AbdelAllah Alshoreka

 

Abdelwahad Bourekhis et cheykh AbdelAllah Alshoreka

 

 

 

Abdelwahad Bourekhis et cheykh AbdelAllah Alshoreka

 

 cheykh Mohamed Minta

 

 cheykh AbdelAllah Alshoreka

 

cheykh Mohamed Minta

 

 cheykh AbdelAllah Alshoreka

 

 cheykh Mohamed Minta

 

 

 

 

 

 


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posté le mardi 16 décembre 2014

le 16 décembre 2014 : Rencontre-Conférence-débat sur le thème : « Les paradoxes du Levant. Guerres épées et jamais la Paix en Terr

 

 

Rencontre-Conférence-débat sur le thème :

« Les paradoxes du Levant. Guerres épées et jamais la Paix en Terre Sainte, Pourquoi ? »

à l'initiative SOS Chrétiens d'Orient, à la salle Saint Irénée de l’Église Byzantine, 20 rue Sala à Lyon 2ème, en présence de

Anne Lise Blanchard (présidente de SOC Chrétiens d'Orient) et

Geneviève et Jean Claude Antakli (écrivain, biologiste franco-syrien)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Anne Lise Blanchard 

 

 

 Anne Lise Blanchard

 

 

 Anne Lise Blanchard

 

 

 

Près d'Alep, une petite fille de six ans joue à cache-cache avec son frère, au milieu des ruines. Un snipper sur un toit tire et tue l'enfant. Au cimetière, devant la tombe, la petite fille crie en larmes : "Sors de ta cachette, je ne veux plus jouer !". Ce jeu mortel n'a pas fait cent cinquante mille morts, mais cent cinquante mille fois, une mort ! Après la guerre au Liban, la mise à genoux de l'Irak, la destruction de la Libye, une partie machiavélique et truquée s'engage pour démembrer la Syrie, faire main basse sur ses richesses et instaurer la prééminence du Qatar et de l'Arabie Saoudite pour mieux étouffer l'Iran. Le peuple syrien, en choisissant sa souveraineté et non les milliards des monarchies du Golfe, a tenu tête aux gouvernements états-uniens et aux médias mainstream qui manipulent l'opinion publique dans ce conflit où, jour après jour, les balles deviennent moins redoutables que la gangrène de l'absurde. Aux dirigeants européens devenus, selon le général de corps d'armée Jean Salvan, "des idiots utiles pour laisser croire qu'en Syrie, on se battait pour la démocratie et non pour le gaz !", le peuple des "Sans voix", humilié, massacré, à qui nous donnons la parole, crie pour la première fois sa détresse et sa révolte. Que les étincelles de vies de ceux qui, les mains nues, se battent pour la justice et la liberté, deviennent feu qui embrase, en Europe et dans le monde, les hommes de paix et de bonne volonté.

 

 Jean Claude Antakli

 

 

 Geneviève Antakli

 

 

 Jean Claude Antakli

 

 

 Geneviève Antakli

 

 

 Jean Claude Antakli

 

 

 Geneviève Antakli

 

 

 

Geneviève et Jean Claude Antakli

 

 

 Jean Claude Antakli

 

 

Geneviève Antakli

 

 

 Jean Claude Antakli

 

 

  Geneviève Antakli

 

 


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posté le dimanche 14 décembre 2014

le 13 décembre 2014 : Café débat sur le thème : «Voyage vers l'enfer. Ex-prisonnier à Guantanamo, Jihadisme, fantasme ou réalité »

 

 

 

 

 

 

 

Café débat sur le thème : «Voyage vers l'enfer. Ex-prisonnier à Guantanamo, Jihadisme, fantasme ou réalité »

au Café de la Paix, 17 place de la Paix à Vénissieux avec

Mourad Benchellali

(ancien détenu de Guantanamo pendant deux ans et demi, témoigne aujourd’hui, à 33 ans, pour prévenir les jeunes de la tentation jihadiste).

 

 

 Je suis né en 1981 à Vénissieux, où j’habite encore. J’ai grandi dans un quartier qui doit sa notoriété au chômage, à l’exclusion, au racisme, aux premières révoltes urbaines des années 1980, d’où est partie la Marche pour l’égalité de 1983.

 

 En 2001, je suis parti en Afghanistan. L’ennui, le besoin d’évasion, l’envie de voir au-delà d’une forêt de tours en guise d’horizon, un imaginaire forgé par le cinéma américain, et toute la naïveté de mes 19 ans m’ont convaincu d’entreprendre ce voyage à l’instigation d’un de mes proches.

 

 Dès mon arrivée au Pakistan, j’ai tout de suite été accueilli et pris en charge avec d’autres jeunes comme moi en provenance du monde entier. Quelques jours plus tard, nous traversions la frontière pour nous retrouver dans un camp, au beau milieu du désert, près de la ville de Kandahar : Camp Farouk, un camp d’entraînement militaire tenu par les talibans.

 

 À mes premières protestations, il me fut répondu que cela se passait comme ça ici, que tous les jeunes qui venaient en Afghanistan devait passer six semaines dans ce type de camp. À l’époque, les talibans n’étaient qu’une des nombreuses factions qui se disputaient le pouvoir dans le pays. De la même manière que ceux du camp d’en face, leurs besoins en combattants ne faiblissaient pas et ils recrutaient constamment partout où c’était possible.

 

 

 

Personne ne parle jamais de cette face cachée de la guerre qui existe pourtant depuis toujours : il est très facile de se retrouver embrigadé et avec une arme à la main sans pourtant l’avoir cherché. Rappelez-vous les combats dans le bocage normand avec ces gamins aux yeux bridés des confins de l’URSS sous uniforme allemand, trop heureux de se rendre aux militaires américains. 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 
 


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