Temps de rencontre et d’échanges organisé par l’Amitié Judéo-musulmane autour du « pacte de fraternité » au Groupe Scolaire les « Anémones » 238 avec du Plateau dans le quartier de la Duchère à Lyon 9ème, en partenariat avec le Groupe Abraham de la Duchère, l'association Éducative et Culturelle Comorienne de Lyon
En présence de Monsieur Michel Serfaty (Rabbin de Ris Orangis et président de l'AJMF), Monsieur Mohamed Azizi (Imam et aumônier régional des hôpitaux pour l’Ile-de-France), Monsieur Ibrahim Houbiri (Imam et Président de l'AECCL),
Monsieur Haim Benisty (délégué rabbinique de la Commune),
Monsieur Pierre Olivier Dolino (Pasteur),
Monsieur Christophe Buisse (prêtre de la paroisse de la Sauvegarde à la Duchère) et Monsieur Hubert Julien-Laferrière (maire du 9ème arrondissement de Lyon).
Depuis 2005, le « Bus de l’Amitié judéo-musulmane » sillonne une fois
par an la France à la rencontre de sa population et propose d’engager le
dialogue entre juifs et musulmans afin de parvenir à une meilleure
connaissance des communautés juives et musulmanes, de leurs modes de vie
respectifs et de leurs préoccupations.
Dans chaque ville étape
des « Tours de l’Amitié », les diverses activités et manifestations sont
organisées en partenariat avec de nombreuses associations locales, les
maisons de quartiers, les maisons de jeunes, les pouvoirs publics ainsi
qu’avec les communautés juives et musulmanes.
Les contacts pris durant trois ans avec ces différents partenaires ainsi qu’avec l’ensemble des participants aux « Tours de l’Amitié » connaissent aujourd’hui de nouveaux prolongements : nouvelles demandes d’interventions, conventions de partenariats, exportation de l’idée des « Tours de l’Amitié », etc...
Les manifestations proposées sont variées et évoluent au fil des ans.
Ibrahim Houbiri
Ibrahim Houbiri
Ibrahim Houbiri
Michel Serfaty
Michel Serfaty
Mohamed Azizi
Michel Serfaty
Michel Serfaty
Ibrahim Houbiri
Michel Serfaty
Michel Serfaty et Mohamed Azizi
Michel Serfaty et Mohamed Azizi
Michel Serfaty, Mohamed Azizi et Fatima Karihila
Michel Serfaty, Mohamed Azizi et Fatima Karihila
Michel Serfaty, Mohamed Azizi et Fatima Karihila
Michel Serfaty, Mohamed Azizi et et Fatima Karihila
Fatima Karihila
Fatima Karihila
Michel Serfaty et Mohamed Azizi
Michel
Serfaty et Mohamed
Azizi
Michel
Serfaty et Pierre Olivier Dolino
« L'un est juif, l'autre musulman, le troisième chrétien et les deux derniers... athée et agnostique. Un peu chiffonnés par la laïcité à la française, cinq garçons viennent de boucler un tour du monde à la recherche de ce qui peut unir les humains par-delà leurs croyances, de la Chine à l'Argentine en passant par le Kenya ou encore... le Vatican.
En 10 mois et une quarantaine de pays, Ilan, Ismael, Samuel, Victor et Josselin, membres de l'association "Coexister", ont été accueillis par d'innombrables communautés, des animistes du Burkina Faso aux shintoïstes du Japon.
Coexister est une association inter religieuse, et cinq de ses membres ont fait le tour du monde pour rencontrer les initiatives inter religieuses mondiales.
Mot d'accueil du prêtre de l'Eglise Notre Dame des Anges, salle Camille Néel
37 rue Félix Brun
Métro ligne B, station Jean Jaurès
"ce qui peut unir les humains par-delà leurs croyances "
Samuel
Samuel
Victor
Josselin
Ismael
Samuel
Victor
Josselin
Ismael
Samuel
Victor
Josselin
Ismael
Samuel
Samuel
Samuel
Josselin
Samuel
Victor
Josselin
Ismael
Samuel
Josselin
Samuel
Samuel
Samuel
La libération de la parole antisémite portée par l’islam radical, par les négationnistes ou les propagandistes de la haine se traduit aujourd’hui par des violences antisémites de plus en plus nombreuses et meurtrières.
Depuis l’affaire Mérah, nous n’avons pas su organiser une réponse collective à la hauteur de ces violences antisémites qui menacent et minent le vivre ensemble.
Notre ville et notre région voient leurs valeurs de résistance et solidarité ternies depuis des années par des Faurisson, Plantin, Notin, Gabriac, Benedetti, Gollnisch, Soral et les salles remplies des meetings de Dieudonné M’Bala M’Bala.
La société civile et les institutions républicaines doivent prendre leurs responsabilités en affichant une volonté commune, claire, déterminée et sans compromis face aux violences antisémites et à la venue de Dieudonné M’Bala M’Bala à Lyon.
interwiew de Benaissa Chana
Premier Vice Président du Conseil Régionale du Culte Musulman Rhône Alpes
et de frère Alain (membre de la LICRA)
Patrick Kahn (LICRA) et David Sirveaux (Vice-président du Consistoire Régional)
et Benaissa Chana (1er Vice président du Conseil Régional du Culte Musulman Rhône-Alpes)
Patrick Kahn et Abdel Malik Richard Duchaine
Roger Benguigui, (Secrétaire général de la LICRA)
Ali Kismoune (élu du 3ème arrondissement de Lyon) et Richard Benitah (Radio Judaïca)
Roger Benguigui, (Secrétaire général de la LICRA)
Roger Benguigui, (Secrétaire général de la LICRA)
Benjamin Orenstein
Intervention de David Sirveaux
Intervention de Benaissa Chana
Benaissa Chana
Benaissa Chana
Intervention de la présidente de l'UEJF
Intervention de Maitre Alain Jakubowicz
Maitre Alain Jakubowicz
Maitre Alain Jakubowicz
Ali Kismoune,(Président du Club Rhône Alpes Diversité)
et Maitre Alain Jakubowicz (Président de la LICRA)
Maitre Alain Jakubowicz,
Zohra Aït-Maten (élue à la mairie du 7 ème arrondissement)
et
Ali Kismoune,(Président du Club Rhône Alpes Diversité)
des bougies allumées en mémoire des victimes de la tuerie au Musée Juif de Bruxelles
A 20 ans
le cheminement d'une conscience
dans une situation exceptionnelle.
L'Algérie
sa terre, ses gens, la guerre.
Un témoignage sur une période douloureuse et occultée
de notre histoire.
Une mémoire qui se livre.
Le partage d'une tranche de vie.
John W.Kiser Abdel Malik Richard Duchaine et bernard YACINE gouttenoire (selfportrait)
(photo bYg)
« La guerre d’Algérie n’est pas terminée. Elle se poursuit dans cet énorme silence qu’elle a creusé en nous. Comment ne pas voir que la honte peut entraîner la haine ; et que, sans une démarche de réconciliation avec soi-même et avec autrui, tout peut recommencer demain ». Bernard Sigg
Originaire de Villefranche-sur-Saône, Bernard Gerland n'est âgé que de 20 ans lorsqu'il débarque en 1960 en Algérie comme contingent.
Un épisode qui le marquera à vie.
Ce n'est qu'à l'âge de 55 ans qu'il ose enfin s'exprimer sur son vécu durant la guerre d'Algérie : « Le dernier grand drame de notre histoire » comme il le qualifie.
Pour cela, il se reconvertit au théâtre et écrit la pièce "Ma guerre d'Algérie".
Une pièce « autobiographique » dans laquelle il se livre entièrement, comme si on y était...
Commentaires