Abedelazziz Chaambi,
président du Coordination contre le Racisme et l’Islamophobie (CRI)
De nombreux manifestants mettent en avant les valeurs communes avec les catholiques, particulièrement sur la famille. Plusieurs ont participé à des rassemblements
de la Manif Pour Tous.
1ER PRINTEMPS DES ARTISTES
SAINT JACQUES DES ARRETS (RHÔNE)
le dimanche 27 avril 2014
10h30 célébration Eucharistique
par le père
Christian Delorme
avec la communauté paroissiale du Haut-Beaujolais
en l'église du village décorée par Jean Fusaro
les pères René Colin et Christian Delorme avec Christiane et Gérard Triboulet (photo bYg)
les pères René Colin (prètre à St Jacques des Arrets) et Christian Delorme
préparent la messe des artistes le dimanche 27 avril 2014 (10h30) à St Jacques des Arrêts
en présence du peintre Jean Fusaro auteur des peintures murales (photo bYg 2014)
l'église de St Jacques des Arrets Rhone (photo bYg)
CECILE & JEAN FUSARO
textes lus par le comédien
GERARD GUILLAUMAT
et en présence de nombreux artistes invités
12h30 REPAS AVEC LES ARTISTES A L'AUBERGE MUNICIPALE
RESERVATION INDIVIDUELLE OBLIGATOIRE 8 JOURS A L'AVANCE
AUPRES DE SYLVIE CLEMENT 0474046439
15h visite commentée de l'église décorée par JEAN FUSARO par
BERNARD GOUTTENOIRE
Fatima Zohra à l'église de St Jacques des Arrêts signe le livre d'Or (photo bYg juin 2012)
le père Abel Cornillon lors de son ordination
une des dernières photos de Monseigneurr Abel Cornillon
les pères Jean Lacombe, Daniel Vandenbergh, Max Bobichon et Pierre Yves Marguin
(chargé des relations avec les cultes au cabinet du Sénateur-maire de Lyon)
(photo bYg)
Jean François Duchamp, le père Daniel Vandenbergh et Bernard Yacine Gouttenoire
(photo bYg)
Suite à un attentat contre des Officiers de la Luftwaffe à Paris en février 1943 , le commandement Allemand demande en représailles l'arrestation en France de 2000 juifs .
Le 1er mars 1943 , trois cents hommes sont arrêtés par la milice et par l'armée Allemande d'occupation , soit chez eux , soit sur le chemin de leur travail à Villeurbanne dans un périmètre qui va de la place Grandclément au cours Emile Zola ; Ils sont regroupés au café Jacob , puis dirigés dans la cour de l'Immaculée Conception .
En fin d'après-midi , 180 d'entre eux sont conduits vers la gare d'où ils partent pour Compiègne .
Ils y resteront un mois et demi .
Les associations d'entraide dont Francis Chirat et Andrée Brevet , et les autorités locales de villeurbanne vont demander de leurs nouvelles, ils sont dans l'ignorance du sort qui leur est réservé .
Une délégation municipale se rendra à Compiègne pour rencontrer les prisonniers .
Rien n'y fait aucun n'est relâché ; C'est à Mauthausen que les 180 raflés de Villeurbanne arrivent en avril 1943 . Deux sur trois trouveront la mort au cours de leur captivité ou dans les mois qui ont suivi leur rapatriement , le camp ayant été libéré le 5 mai 1945.
Cérémonies Commémoratives du 71ème Anniversaire de la Rafle du 1er mars 1943 à l'angle de la rue du 1er mars 1943 et du cours Tolstoï à Villeurbanne et à l'ex-café Jacob (angle de la rue Léon Blum et du Boulevard Eugène Réguillon),
Cérémonie du souvenir, dépôt de gerbes et allocution devant le monument des Déporté, 4 rue Léon Blum, en présence de Monsieur Louis Croppi (Survivant de Rafle du 1er mars 1943), président de la section de Villeurbanne des déportés-internés de la FNDIRP,
de Monsieur Maurice Odiard (président de l'UFAC du Rhône),
Monsieur Gilbert-Luc Devinaz (Conseiller général),
Madame Pascale Crozon (Députée du Rhône),
Madame Sonia Bove (2e adjointe, Vie associative et Anciens combattants),
Monsieur Gilbert Chabroux (ancien maire de Villeurbanne)
et de Monsieur Jean Paul Bret (Maire de Villeurbanne).
Monsieur Louis Croppi (Survivant de Rafle du 1er mars 1943), président de la section de Villeurbanne des déportés-internés de la FNDIRP,
Le 1er mars 1943, trois-cents personnes, très jeunes le plus souvent, sont arrêtées et rassemblées par les troupes allemandes au café Jacob, 1 place Grandclément. Centre-quatre-vingt seront emmenées vers le camp de Compiègne, puis, comme ce fut le cas de Louis Croppi, alors âgé de 17 ans, vers les camps de Mauthausen et de Dachau. Soixante-trois d’entre eux seulement en reviendront et quinze ne survivront pas à leur retour.
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