Faire ensemble, vivre ensemble, agir pour la Paix

« Si Dieu l’avait voulu, il aurait fait de vous une seule communauté. Mais il a voulu vous éprouver par le don qu’il vous a fait. Cherchez à vous surpasser les uns et les autres par les bonnes actions. Votre retour à tous se fera vers Dieu, il vous éclairera au sujet de vos différends » (Sourate 48-verset 5).

posté le mercredi 20 janvier 2016

le 20 janvier 2016 : Colloque :  « Préfets et Préfectures dans la Seconde Guerre Mondiale » Colloque sur l'administration territor

 

 

 

 

  Colloque :  « Préfets et Préfectures dans la Seconde Guerre Mondiale » Colloque sur l'administration territoriale pendant la Seconde guerre mondiale : L'objectif est d’exposer, de comprendre et de discuter les contraintes, les choix et les motivations de ceux qui eurent à diriger l’administration territoriale du pays, sous l’Occupation.

 

Un premier colloque est organisé à Lyon, ville symbole de la résistance et de la Libération, pour évoquer les politiques du gouvernement de Vichy et les figures de l’administration préfectorale à Lyon durant cette période. 

 

Le Comité pour l’histoire préfectorale, placé auprès du ministre de l’Intérieur, a décidé, à l’occasion du 70ème anniversaire de la Libération, d’organiser un programme de colloques thématiques sur l’administration territoriale pendant la Seconde guerre mondiale.

 

 

 Michel DELPUECH,

(préfet de la zone de défense sud-est, préfet de la région Rhône-Alpes, préfet du Rhône)

 

 

 Michel DELPUECH,

(préfet de la zone de défense sud-est, préfet de la région Rhône-Alpes, préfet du Rhône)

 

 

 Michel DELPUECH,

(préfet de la zone de défense sud-est, préfet de la région Rhône-Alpes, préfet du Rhône)

 

 

 Jean-Dominique DURAND

(13e Adjoint au Maire de Lyon (Patrimoine, Mémoire Anciens combattants)

 

 

 Jean-Dominique DURAND

(13e Adjoint au Maire de Lyon (Patrimoine, Mémoire Anciens combattants)

 

 

Jean-Dominique DURAND

(13e Adjoint au Maire de Lyon (Patrimoine, Mémoire Anciens combattants) 

 

 

 Coordonné par Marc-Olivier Baruch, directeur d’études à l’E.H.E.S.S, ce programme ambitionne, dans le cadre d’une réflexion d’ensemble sur l’administration préfectorale, d’« exposer, de comprendre et de discuter les contraintes, les choix et les motivations de ceux qui eurent à diriger l’administration territoriale du pays, sous Vichy et l’Occupation ».

Ce colloque est organisé à Lyon ville symbole de la résistance et de la libération les 20/21 janvier 2016, pour préciser les sources et la terminologie, avant d’évoquer les politiques du gouvernement de Vichy et les figures de l’administration préfectorale à Lyon durant cette période.

 

 

 

 

 

 

 André Laroche naît le 3 mai 1924, dans le 3ème arrondissement de Lyon, au sein d'une famille hostile à l'Allemagne.

Le 1er juillet 1941, André rejoint le mouvement Combat . Il a pour mission de mettre en place la diffusion du journal du mouvement. En parallèle, il est également chargé de trouver des locaux pouvant servir de lieux de réunion aux membres de Combat .

 

André est arrêté par la milice le 29 mars 1944 à Lyon, conduit dans les locaux de l'École de santé militaire où il est interrogé par la Gestapo, puis interné à Montluc.
Le 20 avril, André est conduit au camp de Compiègne-Royallieu, puis déporté vers Buchenwald au mois de mai. En juillet 1944, André est transféré au camp de Dora.

 

En avril 1945, les allemands évacuent le camp. Le convoi d'André est libéré par l'Armée rouge, le 3 mai 1945, dans le nord de l'Allemagne.

 Dans les années d'après guerre, André Laroche est promu Commandeur de la Légion d'Honneur. Plusieurs fonctions lui sont également confiées : président de la Fédération Nationale des Déportés et Internés de la Résistance, vice-président du Comité d'Action de la Résistance, vice-président de la Commission Exécutive du Struthof, président d'Honneur du Mouvement d'Union et d'Action des Déportés et Internés de la Résistance à Lyon.

 

 

 

 

 

 

 

 Avec les élèves du Lycée  des Métiers Japy (classe EVCS)

 

 

 Avec les élèves du Lycée des Métiers Japy (classe EVCS)

 

 

 

 

 

 Laurent Douzou est un universitaire français, professeur d'histoire à l'université Lumière Lyon-II et à l'Institut d'études politiques de Lyon. Il a été entre 2010 et 2012 membre de la Maison française d'Oxford

 

 

Laurent Douzou 

spécialiste de l’histoire et de la mémoire de la deuxième guerre mondiale en France et en Europe. Ses recherches actuelles portent sur l’historiographie et sur l’histoire orale en tant que pratique et objet de controverse. 

 

 

 Laurent Douzou

 Il est Professeur d'histoire contemporaine à l'Institut d'études politiques de Lyon, spécialiste de l'histoire et de la mémoire de la France des années noires.

 

 

 

 

 

Lecture par des comédiens  d'extraits de l'ouvrage de Jean Moulin  (Premier Combat)  

 

 

 

 

 


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posté le mercredi 20 janvier 2016

le 19 janvier 2016 : Conférence-débat sur le thème : « Appelés à proclamer les hauts faits de Dieu », Débat entre Yeshaya Dalsace

 

 

 

 

 

 

 

Conférence-débat sur le thème : « Appelés à proclamer les hauts faits de Dieu »,

Débat entre Yeshaya Dalsace (rabbin de la synagogue Dor Vador à Paris)

et le Cardinal Philippe Barbarin, (archevêque de Lyon, Primat des Gaules)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  Rencontre avec le Cardinal Philippe Barbarin et Yeshaya Dalsace  

Proclamer les hauts faits de Dieu. 
Nostra Etatae. 20 siècles de dénégations ont fait l'histoire des hommes. 

Le christianisme n'est ni accident,  ni un état de fait,  mais a fait un bond extraordinaire.  
Le pape François dit : "Avoir une conversation avec autrui c'est faire un pas vers Dieu".  

 

 

 

 

 

 

 

Il n'y a pas de de connaissance de soi sans connaître Dieu.  
Question de dire les hauts faits de l'Eternel,  il y a le sentiment intime, profond, est il partageable ? Les Hauts faits,  ce sont les miracles. 

 

 

 

C'est ce trait d'union entre le ciel et la terre.  Vision des hauts faits de l'Eternel. 

C'est la question du texte et de l'étude. 

 

 

  Le problème des grands miracles,  est ce que nous y croyons toujours. 

C'est de chercher à comprendre un texte. 

 

 

  Quand on parle de la proclamation,  c'est tous ceux qui ont la prétention de représenter la compréhension de l'Eternel. 

 

 

  C'est un concept tout à fait juif. Le croyant est exemplaire,  il donne envie aux autres. 

C'est celui qui se veut porteur des hauts faits de l'Eternel.  

 

 

  Parle de la semaine de l'unité des chrétiens.  Appeler l'église comme une fraternité.

 

 

  Comme une source de la parole de Dieu qui va être portée sur ton chemin. 

J'ai reçu un cadeau de Dieu

 

 

   Je dois le transmettre et après,  je dois disparaître. 

Proclamer les hauts faits de Dieu.  Promesse et Évangile,  c'est la même racine. 

 

 

  Souvent on dit,  je proclame tes louanges,  je prononce la parole de Dieu. 

Amour,  c'est un mot très courageux,  car il amplifie tout,  la fraternité.

 

 

  Le magnificat, Dieu est miséricordieux avec tout le monde. 

 

 

 

 

 

 


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posté le mercredi 20 janvier 2016

le 19 janvier 2016 : Conférence -débat sur le thème : « Le problème de la Guerre en Islam » par Makram Abbès (ENS de Lyon)

 

 

Conférence -débat sur le thème : « Le problème de la Guerre en Islam »

par Makram Abbès (ENS de Lyon) à l'université de Lyon 90 rue Pasteur à Lyon 7 ème

dans le cadre du cycle de conférences

« Refléchir après Charlie janvier et novembre 2015 »

organisé par le laboratoire « Triangle ».

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Cest la notion de la guerre sainte en islam et le terrorisme.
Jihad: acceptations sémantiques et signification dans le texte coranique.  
A. Les 3 niveaux du jihad. Ontologique.  Moral.  Guerrier = harb
B. Remarque sur la réception contemporaine des ces 3 acceptations et du problème dela polysémie,  dans l'islam, dans les courants mystiques.  

 

 

 

 

Il n'y aurait que le sens violent de la guerre.  
Lutte contre ses passions,  l'agressivité, ses impulsions.  
Le texte coranique utilise cette notion de jihad, les guerres concrètes contre les musulmans. 

 

 

 

 

Sortir des ces sens hypothéqués. Une partie de la conscience musulmane est affectée par ces derives et de l'interprétation des textes.  Il faut sortir du problème.  
Confiscation d'une signification unique,  de la racine,  d'un mot,  "harb". 
Le texte a été révélé à un moment charnière de la migration à Medine en 622. Partir de la grande question,  qui est l'ennemi ? Le texte coranique de la légitimation, point de départ, moment de la résistance pacifique. Lutter contre l'oppression.  Résister contre l'oppression.  Tout cela peut conduire à une interprétation.  Le Coran mecquois serait plus gentil,  tandis que le Coran medinois serait plus agressif.  Le terme qui est utilisé dans le Coran est le mot "fitna", qui veut dire,  se quereller.  
La tradition juridique de l'affirmation de la "guerre sainte". Existait dans l'antiquité et le christianisme. Il n'y a pas d'autorité à sanctifier de faire triompher la cause de Dieu.  Sensé de convertir au véritable monothéisme.  

 

 

 

 

 Grande question qui émerge à la lecture et à l'histoire de l'islam.  D'abord, l'ennemi juré des musulmans est le polythéisme.  Guerre aussi contre les gens du livre.  Les ennemis internes (apostats, dissidents,  brigands et les coupeurs de routes). Ces catégories,  sont présentent dans les textes coraniques.  Les théologiens,  les juristes de l'islam étaient travaillés par une notion de guerre et de paix. 
4 ème phase.  Dieu autorise, le Prophète à faire la guerre.  C'est un travail d'interprétation de la lecture. Nous sommes dans une justification juridique et sémantique d'abrogation de plusieurs centaines de versets.  

 

 

 

 

l y a cette idée d'etatisation de la guerre. La guerre et la paix,  c'est le souverain qui décide.  La guerre,  c'est comme le prélèvement des impôts.  C'est l'autorité souveraine et légitime.  L'autre religion existe pour lui livrer combat.  Nous ne sommes pas dans une vision monolithique. Le casius belli. 
Toutes les écoles de l'islam interdisent de tuer les femmes et les enfants, agriculteurs,  les moines. 

 

 

 

 

Fondation d'une nouvelle pensée de l'islam.  Celui du milieu du XX ème siècle,  elle fait le choix de la radicalite.  Comment la religion de l'islam est perçue ? La guerre est l'outil de la réalisation du royaume de Dieu sur terre.  L'état musulman est la première cible.  

 

 

 

 
 


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posté le lundi 18 janvier 2016

le 18 janvier 2016 : Rencontre au siège du Conseil Régional du Culte Musulman Rhône-Alpes à Lyon


 

 Rencontre coniviale au siège du Conseil Régional du Culte Mususlman Rhône-Alpes

23 due du Dauphiné à Lyon 3 ème en présence d'Ahmed Ogras (futur président du Conseil Français du Culte Musulman)et quleques membles de l'association Turque DITIB

 

 

 avec Benaissa Chana, Abdel Malik Richard Duchaine, Abdelkader Laid Bendidi,

Ahmed Ogras,

des membres de l'association Turque DITIB, Nordine Messili et Abdelkader Hayat

 

 

 

 

en présence du Président Abdelkader Laïd Bendidi et Ahmed Ogras 

 

 


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