Faire ensemble, vivre ensemble, agir pour la Paix

« Si Dieu l’avait voulu, il aurait fait de vous une seule communauté. Mais il a voulu vous éprouver par le don qu’il vous a fait. Cherchez à vous surpasser les uns et les autres par les bonnes actions. Votre retour à tous se fera vers Dieu, il vous éclairera au sujet de vos différends » (Sourate 48-verset 5).

posté le samedi 20 octobre 2018

le 19 octobre 2018 : « RAZAN, une trace du papillon », un film tourné cet été à Gaza Organisé par Collectif 69 de Soutien au Peupl

 

 

 « RAZAN, une trace du papillon », un film tourné cet été à Gaza Organisé par Collectif 69 de Soutien au Peuple Palestinien à la Maison des Passages 44 Rue Saint Georges à Lyon 5 ème 

 

 

 Razan el-Najjar, jeune infirmière palestinienne de 21 ans, a été tuée le 1er juin 2018, lors de la Grande marche du retour, sur la bordure orientale de Khan Younès, dans le sud de la Bande de Gaza. Alors qu’elle travaillait comme secouriste et portait une veste avec le logo des services sanitaires, Razan a été mortellement touchée d'une balle explosive tirée par un sniper israélien.

 

 

UN FILM TOURNÉ CET ÉTÉ A GAZA PAR UN CINÉASTE PALESTINIEN

Dans ce film documentaire, réalisé par Iyad Alasttal, jeune cinéaste de Gaza, nous suivons la maman de Razan et sa famille, dans sa maison, dans le quartier, à la rencontre des voisins, pour apprendre de la vie de cette jeune femme, et découvrir des images des grandes marches du retour qui se tiennent tous les vendredis à Gaza, depuis le 30 mars 2018... 

 

 

 DÉBATS EN PRÉSENCE DES PARENTS DE RAZAN ET DU RÉALISATEUR DE GAZA

Du 9 octobre au 9 novembre 2018, Iyad Alasttal et les parents de Razan accompagneront le film. Ils sont invités pour une grande tournée dans toutes les régions de France, par les associations de solidarité avec la Palestine. 

 

 Du 9 octobre au 9 novembre 2018, Iyad Alasttal et les parents de Razan accompagneront le film dans une grande tournée dans toutes les régions de France. Cette tournée est organisée par les associations de solidarité avec la Palestine, AFPS, UJFP, BDS, Coordination des associations Palestiniennes à Paris, Association des Palestiniens en France Aljaliya.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 Dans ce film documentaire, réalisé par Iyad Alasttal, jeune cinéaste de Gaza, nous allons suivre la maman de Razan et sa famille, dans sa maison, dans le quartier et rencontrer les voisins, pour apprendre de la vie de cette jeune femme, et découvrir des images des grandes marches du retour qui se tiennent tous les vendredis à Gaza, depuis le 30 mars 2018.

 

 

 Razan el-Najjar, jeune infirmière palestinienne de 21 ans, a été tuée le 1er juin 2018, lors de la Grande marche du retour, sur la bordure orientale de Khan Younès, dans le sud de la Bande de Gaza. Alors qu’elle travaillait comme secouriste et portait une veste avec le logo des services sanitaires, Razan a été mortellement touchée d’une balle explosive tirée par un sniper de Tsahal.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 
 


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posté le samedi 20 octobre 2018

le 19 octobre 2018 : Lancement du livre « Fraternité Radicale » Organisé par Coexister Lyon à la Salle Antoine Chevrier 70 rue Rac

 

 

 Lancement du livre « Fraternité Radicale » Organisé par Coexister Lyon à la Salle Antoine Chevrier 70 rue Rachais à Lyon

SOIREE EXCEPTIONNELLE EN PARTENARIAT AVEC LES EDITIONS LES ARENES*

 

 

Samuel Grzybowksi est présent à Lyon ce vendredi 19 octobre pour vous présenter son livre Fraternité Radicale ! 

 

 

 Ce livre revient sur les 10 années d'existence de l'association Coexister France et témoigne de l'engagement des jeunes ainsi que des amitiés entre jeunes de convictions différentes. 

 

 

À 26 ans, Samuel Grzybowksi fait, dans un livre très personnel, le bilan de l’aventure « Coexister », le mouvement de jeunesse promouvant le dialogue interreligieux qu’il a fondé en 2009. 

 

 

 Un jour de l’automne 2016, Samuel Grzybowski fait un malaise vagal en pleine rue, à Paris. Il n’a alors que 24 ans, mais le bilan médical auquel le pousse cet incident est alarmant : son corps est fatigué, du repos s’impose. Cela fait alors huit ans que le jeune homme a fondé « Coexister », un mouvement de jeunesse qui promeut le dialogue interreligieux, mais aussi entre croyants et non croyants. Le projet, qui aura dix ans en 2019, s’est considérablement développé, il rassemble 3 000 jeunes dans 50 villes de France, et s’est installé en bonne place dans le paysage associatif – et même religieux.

 

 

 Comme fondateur, Samuel Gzybowski y a gagné une notoriété et toutes sortes de prix et récompenses : le label « La France s’engage » en 2015, le « prix du jeune leader émergent » décerné par le département d’État américain en 2016 – sans parler de la place que lui attribuait La Croix dès 2010 parmi les « 10 jeunes qui font bouger l’Église ». Mais il y a aussi laissé de l’énergie, sa santé et, il en prend soudain conscience, une partie de sa jeunesse 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

le livre est en vente sur place. 

 

   

 Le temps de présentation et de dédicace sera suivi d'un buffet.

 

 

 

 

 

 

 

 


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posté le jeudi 18 octobre 2018

le 18 octobre 2018 : Conférence-débat avec Lytta Basset, (philosophe théologienne, écrivain) sur le thème : « Après la mort d'un e

 

 

 Conférence-débat avec Lytta Basset, (philosophe théologienne, écrivain) sur le thème : « Après la mort d'un enfant : de l'expérience du vide à une autre façon d'aimer»,  avec l'Association Jonathan Pierres Vivantes à la Maison des Familles 52 Cours Charlemagne à Lyon 2 ème

 

 

 

 

le Président de la Maison des Familles 52 Cours Charlemagne à Lyon 2 ème 

 

 

 

 

 Intervention de Jean Louis Buard

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


 Intervention de Pascal Dreyer

(Coordinateur d'un réseau de recherche)

 

 

 

 

 


 Lytta Basset

(Philosophe, Théologienne et Ecrivain)

A perdu un enfant par suicide en 2001, beaucoup de parents se réfugient dans la méditation. 

 

 Comment pouvons accueillir ce vide,  cette absence,  beaucoup de gens parlent d'oublier.  Comment accepter ce vide, c'est un temps,  en dehors du temps.  C'est difficile à partager avec quelqu'un qui ne l'a pas vécu.  C'est l'expérience du vide, peut y avoir une fécondité dans cette expérience.  C'est comme si ce vide nous avalait tout entier. 

 

 

 Le temps,  la période,  on essaye de combler le vide à tout prix.  Une relation dévorante avec une personne que l'on a aimé,  faire une fusion avec l'enfant décédé.  Tout de ce rien qui semble être sans limite.  Le terme désert,  est ce que ma vie s'arrête à ce moment là.  Est ce que la vie n'a plus rien en réserve pour moi ?

 

 

 Nous sommes dans une société,  où il y a des images et des bruits.  C'est l'expérience du vide qui m'attend.  Le désert va épuiser notre imaginaire.  Le silence et la méditation vont aider à se de culpabiliser.  Quand la culpabilité revient au galop,  il ne faut pas hésiter à dire dégage.  Ces images finissent par s'estomper,  a disparaître.  Le vide est irrémédiable,  et on peut s'ouvrir sur une vie différente.  On ressent les signes d'une présence,  on pourrait l'appeler le souffle divin, on ne peut pas accepter le mot épreuve,  ça veut dire,  c'est pas grave,  ca va passer. Ce n'est pas une épreuve,  c'est la fin du monde. 

 

 

 Écouter la vie,  écouter mon corps,  avec ses besoins. Écouter cette vie qui traverse mon corps, notre corps est le seul lieu vivant qui reste à l'écoute.  Cette vie qui circule inlassablement dans mon corps, il n'y a plus de mental. Une voix de fin silence,  où on n'entend plus rien. On ouvre un espace dans la relation avec celui qui n'est plus là. Quand on vit ce temps de méditation dans le silence, on le ressent pour une personne qui est vivante.  

Dans l'expérience du vide,  nous permet de nous désencombrer de place du Dieu biblique. Cette écoute du vide,  va où il veut,  quand il veut. Une personne qui vit un deuil,  va faire cette expérience du vide

 

 Accepter d'être dans ce questionnement, c'est laisser une porte ouverte sur la vie,  c'est par ce questionnement que l'on prend conscience que nous sommes un être humain. Être un être humain,  c'est être dans la sagesse,  dans cette force du quoi.  

Comment se transforme notre manière d'aimer ?  Pendant un moment,  des moments d'incompréhension dans le couple,  il y a des moments de non amour,  c'est déjà l'expérience du vide. 

 

 Même si il y a l'amour, le grand amour,  il peut y avoir des moments de non amour,  on peut supporter l'indifférence de l'autre,  celle qu'il m'abandonne.  Et ça fait parti de nos moment de vie.  On intégrons ce vide.  Qu'est ce qu'il reste,  alors que j'ai perdu pour moi ce qui est essentiel.  Suis je toujours capable d'aimer, est ce que je pourrais grandir sans cette fusion.  Nous avons tous l'acceptation d'un amour absolu.  

 

 

 

  
 


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posté le dimanche 14 octobre 2018

Le 14 octobre 2018 : Culte de la Cité au Temple Protestant Théodore Monod à Vaulx en Velin

 

 

 

 

 

  

 

 Le conseil de Consistoire de l'Eglise Protestante Unie de France et sa Présidente la Pasteure Nadine Heller

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 Prédication de la pasteure Emmanuelle Seybolt,

présidente de l'Eglise Protestante Unie de France

 

 

 Le conseil du Pôle lyonnais de la Fédération Protestante de France et sa présidente la Pasteure Nicole Fabre

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 
 


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