Faire ensemble, vivre ensemble, agir pour la Paix

« Si Dieu l’avait voulu, il aurait fait de vous une seule communauté. Mais il a voulu vous éprouver par le don qu’il vous a fait. Cherchez à vous surpasser les uns et les autres par les bonnes actions. Votre retour à tous se fera vers Dieu, il vous éclairera au sujet de vos différends » (Sourate 48-verset 5).

posté le lundi 23 novembre 2015

le 23 novembre 2015 : Journée d'étude sur le thème : « Chrétiens en relation au Judaïsme. Mémoires, partage, attentes » à l'Unive

 


 

 

 

Journée d'étude sur le thème :

« Chrétiens en relation au Judaïsme. Mémoires, partage, attentes »

à l'Université Catholique , 23 place Carnot à Lyon 2éme

 

 

 

Jean Marie Thomas

(délégué episcolal en relation avec le Judaïsme auprès du Diocèse de Lyon)

 

 

Pasteur Nicole Fabre  d'origine alsacienne

(pasteur protestant de l'Église Protestante Unie des France). 
Aumônier Hospitalier aux Hospices Civiles des Lyon à l'hôpital de la Croix Rousse.
Anciennement,  bibliste.

 

 

Regard de Dieu,  ce n'est pas parce que tu es petit que Dieu ne te regarde pas. Enfant,  ne parlait très peu de la guerre 39/45. Regard de Dieu, proche de David.  Appeler son fils David,  c'est un peu comme l'annonce de la venue du messie.  Relations pas si simples que ça,  quand un rabbin lui avait dit : "nous n'avons rien en commun". 
Bibliste régionale sur Lyon, pendant 16 ans. Redonner un sens à la lecture des textes bibliques.  Redonner une relation vivante aux textes de la bible. Donner 3 sens à la lecture des textes.  Lire aux éclats.  Lire en commun afin d'avoir une autre interprétation de la lecture vivante des textes bibliques.  Appuyez vous sur la lecture des uns et des autres.  Une grand-mère des Cevennes qui a lu toute sa vie la bible, en sait plus que tous les autres.  

 

 

On ne peut pas demander à quelqu'un d'apprendre l'hébreu,  mais on peut lui demander de lire les textes talmudiques.  
Nous pouvons nous rejoindre sur le profond et le sacré. 

Être interpellé où Dieu nous échappe toujours. 

C'est capital d'avoir un Dieu pour tous les hommes et non pas un Dieu de l'Église. 

Un avenir de réconciliation.  

 

 

Session pour lire les écritures, les textes de chacune de nos traditions,  Juifs, Chrétiens et Musulmans. Entrer concrètement dans la lecture de la bible hébraïque. Mettre en lumière toute, les manières anti-juridiques de lire. Les juifs du temps de Jésus étaient des mécréants.  Combien les textes bibliques nous interrogent pour savoir que l'on adresse à l'autre.  

 

 

La parole du Pape François est très importante, 

il ne s'adresse pas qu'aux catholiques,  mais il s'adresse à tout le monde.  

 

 

 

 

Bernard  Comte,

(historien français. Il s'est intéressé à l'histoire de la Shoah

et à la Résistance durant la Deuxième Guerre mondiale.

 Auteur d'une étude sur le négationnisme,

il milite également contre les manipulateurs de la mémoire et du passé.)

 

 

Les relations juifs/chrétiens et l'antisémitisme moderne.  
Dans les années 1880,  l'inculturation des milieux catholiques,  de l ignorance au ressentiment.  L'ignorance  (avec des préjugés hostiles) des catholiques envers les juifs.  L'héritage de l anti judaïsme chrétien.  Les juifs on été infidèles à la promesse de l'alliance que leur avait fait Moise. L'église catholique, verus Israël les condamne de "deicides", châtiés. La mort de Jésus, est considéré comme meurtre,  assassinat. Les rites juifs ne sont pas compris par les chrétiens.  Donc ignorance et préjugés.  
Le ressentiment, les Juifs sont pour quelques choses depuis que la République est devenue anticléricale.  Quand on dit que ce sont des assimilés, parfois "dejudaise",  on les considère comme un danger potentiel,  les catholiques français ressentent une désagrégation de la chretiennete. 

 

 

L'affaire Dreyfus (1894/1906) mobilise la majorité des catholiques,  défenseurs de l'armée,  de l'ordre et du passé monarchiste face à l'agression judeo maçonnique contre les autorités légitimes.  La conclusion heureuse pour les juifs et les républicains,  est catastrophique pour leurs opposants catholiques.  (Crise de la séparation 1906). 

 

 

Charles Maurras (ligue de l'action française), antisémitisme,  nationalisme,  royalisme, soutien au catholicisme romain.  Il attire les catholiques intégristes,  alors qu'il ne pratique pas, il serait même,  athée.  Il va attirer les catholiques purs et durs contre les juifs.  Alliance des catholiques les plus fidèles avec les intérêts de la France jusque dans les années 30. 
Les contrastes du premier XX siècle.  Union sacrée (Rabbin Rabbin Abraham Bloch).

Les familles spirituelles de la nation.

Juifs heureux en France, pays d'accueil,  100000 entrées, 50000 naturalisés. 

 

 

Le saint office,  condamne l'action française et prohibe l'antisémitisme (1928). Le renouveau catholique,  dans les milieux intellectuels notamment,  influences de Peguy,  Claudel, favorise à la fois la sympathie des catholiques et des juifs.  
Poussée antisémite après 1930.  Les protocoles des sages de Sion, mystification, violence, de la presse nationaliste. La majorité des catholiques français,  reconnaît qu'il y a une question juive à traiter numerus clausus,  pour que les français restent maîtres chez eux.  

 

 

Des théologiens,  des biblistes rehabilitent l'ancien testament,  parole de Dieu dans l'histoire catholique libéraux ou démocrates,  disciples de Peguy,  ami des juifs.  La solidarité des chrétiens avec les juifs persécutés, la lutte contre impossible antisémitisme.  
La 2 ème guerre mondiale.  Petain,  l'antisémitisme d'état prétend résoudre la question juive. Exclus de la fonction publique,  de la direction des entreprises et des médias,  de la vie économique et culturelle.   A Lyon,  protestation des théologiens de la Catho.

Il n'y a pas de protestation publique.  

 

 

 

 

 

 

François Lestang.

(Prêtre, exégète et Maître de conférences à l’Université Catholique de Lyon.

Il a été jusqu’en 2012, responsable du Centre Chrétien pour l’Etude du Judaisme (UCLy) et enseignant en liturgie du judaïsme au sein du CCEJ. Il est actuellement secrétaire régional de l’Association Catholique Française pour l’Etude de la Bible et directeur pédagogique du cycle doctoral de la faculté de théologie),

 

 

Lecture de textes néotestamentaire a la lumière de la tradition d'Israël.  
Quelles précautions,  quels avantages.  Des ressemblances parlantes.  Jésus n'avait pas de kippa.  La kippa existe depuis 300 ans environ. Le christianisme est le frère du judaïsme.  Garder ce lien de fraternité.  Je viens accomplir,  je viens tenir la promesse.  Il est le amen de toutes les promesses de Dieu.  Pas un yod ne passera. 

La femme d'Abraham s'appelait Sarah. 

 

 

Parcourir les écritures par Saint Luc.  Alors il leur ouvrit l'intelligence pour comprendre les écritures. Le troisième jour. Le saint ne peut pas laisser plus de trois jours.  Genèse Rabba (ligature d'Isaac) ou le ligotage. Le troisième jour qui signifie l'accomplissement. Jonas sorti du ventre de la baleine le troisième jour. Un jour de liberté,  un jour de délivrance.  C'est Dieu qui a donné le troisième jour.  Le mérite des pères,  Moise et tous les prophètes et les écrits.  
Assez fréquemment dans la lecture rabbinique,  dans la Thora,  on ne passe forcément par l'endroit que nous aurions souhaité.  

 

 

Jean.  Le dernier jour de la fête,  qui est aussi le plus solennel,  Jésus,  debout se mit à proclamer :"Si quelqu'un a soif, qu'il vienne a moi et que boive celui qui croit en moi".  Il puisait dans l'esprit saint,  ou puisait l'esprit saint.
La circoncision du Christ. Abraham a eu 2 fils,  Isaac et Ismael.  Isaac va dit,  je suis prêt a livrer tous mes membres.  Offrez vos corps.  

 

 

Les différences significatives.  Il y a une différence entre les paraboles rabbiniques et les paraboles de Jésus.  Jésus, les pharisiens et le shabbat. 

Lire les évangiles pour mieux comprendre les textes hébraïques.  
Être adulte,  c'est accepter les déceptions.  

 

 


 


Commentaires

   Commentaires terminés   Fermer les commentaires
 
0 commentaire
 
 
posté le dimanche 22 novembre 2015

le 22 novembre 2015 : Conférence-débat sur le thème : « Y a t il un islam de France ? » par Moncef Zenati à la Mosquée Eyup Sult

 

 

Conférence-débat sur le thème : « Y a t il un islam de France ? »

par Moncef Zenati à la Mosquée Eyup Sultan 27 rue des Frères Amédéo à Vénissieux.

 

 

 

 

 

 

Sourate Al Maidah 5 verset 32. 
Retour sur la dernière conférence du 10 octobre 2015 avec Abdelazziz Chaambi
Projet aménagement de la bibliothèque.  

 

 

 

 

 

 

né en France le 11 juin 1970 et est parti tôt en Tunisie où il a grandi. Ce n’est que quelques années plus tard qu’il est revenu dans la région de la Bourgogne.
Concernant son parcours scolaire, il a obtenu un baccalauréat scientifique suivi d’une licence en mathématiques.
C’est lorsqu’il décide de changer de cursus qu’il entre en tant qu’étudiant à l’IESH de Château-Chinon où il obtient une maîtrise en sciences de l’Islam.

Passionné par le partage du savoir, il décide d’orienter sa carrière dans l’enseignement en droit musulman et devient en plus responsable des études à distance en sciences islamiques.

 

 

Plus d’une corde à son arc, Moncef Zenati est aussi connu pour être membre actif de deux associations : l’UOIF (Union des Organisations Islamiques de France) et du Havre de Savoir.
Moncef Zenati a su par moment se montrer différent de ses collaborateurs qui se disent modérés. En effet, lors de diverses conférences dans le cadre du Havre de Savoir, il a fait entendre et a exposé clairement son point de vue concernant la différence à établir entre les lois humaines dites droit positif et les lois Divines qu’englobe la Charia.
De ce fait, il explique que les lois divines découlant de la Charia sont supérieures aux lois humaines qui quant à elle change selon le bon vouloir des hommes. A l’instar des lois et de la législation qui restent éternelle dans le droit musulman.
Il ajoute aussi que les premières, du fait de leur statut seront toujours en retard sur la société contrairement aux autres qui seront toujours en avance.

 

 

 

 

"Y-a-t-il un islam de France ?" 
Est ce un islam avec une relecture des textes d'origine.  Prendre en compte des particularités des musulmans vivant en France.  Une méthodologie,  prendre en considération des textes,  comme l'avait fait le Prophète ( sallala alleyi wa salem ),  en tenant compte des particularités.  Revenir sur une notion,  entre les choses immuables et les choses de la flexibilité dans la pratique.  Par exemple,  la consultation, comment on l'a appliquée.  C'est un principe.  Ce qui va changer c'est la pratique,  l'application.  Comment on va mettre en application ce qui est immuable. La flexibilité,  comment appliquer tout ça.  La flexibilité , c'est en cas de nécessité.  Ce qui est immuable,  ce sont les les heures de la prière.  Regroupement des prières,  c'est une flexibilité. Le jeûne du mois de ramadan,  c'est immuable.  

Ce qui est immuable,  on ne touche pas.  

 

 

L'islam de France,  la foi, la morale, les actes cultuels,  le domaine législatif.  Les lois humaines codifient la société.  L'essentiel, c'est de stabiliser la société.  Une ibadat,  ce sont les actes cultuels.  Ce sont des questions que nous appliquons d'une façon individuelle,  par exemples,  le regroupement des prières lorsque l'on travaille ou lorsque nous sommes en voyage.  La aquidat,  c'est immuable.  C'est d'appliquer l'islam dans tous les contextes.  L'islam de France,  ne change rien dans la pratique,  c'est une ingérence des affaires religieuses.  Les obligations consensuelles,  la prière est une obligation,  comme les grands interdits,  et ça touche tous les domaines.  Lorsque le Coran donne des mesures.  Par exemple,  la période de viduite, les règles de l'héritage, le mariage,  le divorce.  Tout cela ne change pas.  L'islam qui se libère de tout ce qui est immuable,  ça devient du "freestyle".

 

 

Il y a des prescriptions liées aux normes sociales.  Toutes les formes,  respectent l'éthique. 

Tel que l'habillement, pour les hommes et pour les femmes,  tout cela revient à la culture. 

Nous vivons dans un contexte.  Si la norme sociale change,  nous changeons aussi,  c'est l'exemple de la longueur du pantalon et de la barbe.  Allah ( azeogel ) au moment du jugement dernier,  ne regardera pas la longueur de ton habit.  Aujourd'hui,  la norme sociale a changé.  

 

 

L'islam de France,  c'est faire perdre l'islam de sa substance.  Revoir tous les textes, par exemple.  La riba,  c'est immuable,  c'est une interdiction de l'usure,  c'est mettre fin à une injustice sociale. 

 

 

 

 

Le conseil européen de la Fatwas concernant l'achat d'un bien immobilier.  Il y a la nécessité,  le besoin et le besoin communautaire.  Exemple,  la mosquée appartient à tous les musulmans.  Il y a un besoin de sédentarité d'acheter un bien immobilier. 

 

 

Dès lors que nous vivons dans un pays,  qui n'est pas celui d'origine.  C'est une obligation d'appliquer les lois du pays qui accueille.  Les engagements,  c'est une obligation de les tenir.  Exemple du port du voile pour les femmes.  Les anciens savaient parler de l'islam et savaient le montrer.  Accepter et respecter les lois du pays qui accueille. Islam en France et islam de France,  c'est la même chose, c'est de s'adapter à la législation française. 

 

 

Le code pénal c'est 0, 5 % de la charia.  

 

 

Le Prophète ( sallala alleyi wa salem ) a regroupé à Medine, les prières de dhor et asr,  de maghreb et ischa.  Quelqu'un qui délaisse 3 juma'a, Allah lui referme le coeur.  

 

 

La mixité,  du temps du Prophète ( sallala alleyi wa salem ),  il n'y avait pas de séparation entre hommes et femmes, il y avait des controleuses des marchés. 

 

 

 

 

 

 

 

 


Commentaires

   Commentaires terminés   Fermer les commentaires
 
0 commentaire
 
 
posté le samedi 21 novembre 2015

le 21 novembre 2015 : Rencontre avec Marwa Charrad et Fatma Mahjoubi (Association Dream in Tunisia) à Caravansérail Café 150 rue d

 

 

 

Rencontre avec Marwa Charrad et Fatma Mahjoubi (Association Dream in Tunisia) à Caravansérail Café 150 rue du 4 août à Villeurbanne.  Marwa Charrad,ingénieure en développement durable et chargée de communication et Fatma Mahjoubi, styliste et couturière. Toutes deux contribuent au développement du projet Acacias for All, porté par l'entreprise socialeDream in Tunisia, fondée par Sarah Toumi. Ce projet consiste à créer des pépinières d'acacias dans le Sud tunisien et de planter ces arbres en zone rurale, afin de créer une ceinture verte et empêcher l'avancée du désert sur les terres cultivables.Cette rencontre est proposée par Education en Héritage.

 

 

Elle s'inscrit dans le cadre de la campagne I am somebody récemment lancée par l'association villeurbannaise. La campagne #Iamsomebody vient en réponse à l'injonction d'être la victime  à chaque fois que survient une catastrophe. Elle se propose, au travers de différentes rencontres et happenings qui ponctueront l'année, de partir à la découverte de nous-même et d'être.

 

 

 

Elle se propose de laisser fleurir les potentialités créatrices de chacun, en particulier des jeunes. 

Comment croire en nos propres richesses
et être 
acteur du changement ?

Ensemble relevons le défi d'un monde durable pour et par tous, aux 4 coins du monde.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Marwa Charrad a 23 ans. Elle est l’une des membres actives de Dream In Tunisia. Diplômée en Protection de l'environnement, spécialité Traitement et Valorisation des déchets, elle est particulièrement impliquée dans la lutte contre le changement climatique, via le projet Acacias for all qui vise à engager les communautés rurales de Tunisie dans la restauration des éco-systèmes en cours de désertification. Marwa est également membre du Conseil consultatif des jeunes auprès des Nations Unies de Tunisie, et bénévole au Croissant rouge Tunisien.


Fatma Mahjoubi a 34 ans. Elle est l’une des membres actives de Dream In Tunisia. Diplômée en Anglais, elle pratique parallèlement la couture avec pour spécialité le modèle traditionnel. Elle a pour ambition de lancer un projet social au sein de l'association qui permet à des femmes diplômées de couture de préserver le patrimoine traditionnel en réalisant des créations haute couture originales inspirées de l'histoire des tunisiennes.

 

 


Commentaires

   Commentaires terminés   Fermer les commentaires
 
0 commentaire
 
 
posté le mercredi 18 novembre 2015

le 18 novembre 2015 : Conférence débat sur le thème : « Le droit à la laicité » par Jean-François Chemain, (ancien consultant inte

 

 

 Conférence débat sur le thème : « Le droit à la laicité » par Jean-François Chemain, (ancien consultant international, a choisi de passer l’agrégation d’histoire afin d’enseigner dans une ZEP de la banlieue lyonnaise. ll est l’auteur de plusieurs ouvrages dont le dernier, Une autre histoire de la laicité).

A l'Espace Saint Ignace 20 rue Sala à Lyon 2ème

 

 

Association des avocats chrétiens Saint Yves
Jean François Chemain.   Juriste,  professeur du secondaire au collège Louis Aragon à Vénissieux,  aux Minguettes. Conversion à la Saint Paul,  communauté charismatique,  depuis 2005,  se fait licencier d'Edf. Passe le concours d'agrégation d'histoire.  Depuis 8 ans est en Zep aux Minguettes à Vénissieux,  avec 90% d'élèves musulmans.  Être un petit professeur avec de petits élèves.  Sa réflexion se nourrit en étant auprès de ses élèves.  
La laïcité, on nous bassine sur les dogmes.  Séparation de l'Église et de l'Etat en 1905.  La laïcité date depuis la révolution française en 1789.

 

 

27 ans avant Jésus Christ,  est né l'empire romain.  Entre politique et religion,  c'était la même chose.  La religion était au service de la politique.  L'empereur était un Dieu avec une notion de pouvoir et d'autorité.  L'autorité venait d'une investiture religieuse.  Le désordre que le christianisme venait d'apporter depuis des siècles d'autorité.  L'empereur Constantin,  est devenu chrétien pour avoir beaucoup d'autorité pour avoir un pouvoir dominant.  Avoir l'appui du Dieu des chrétiens.  L'empereur romain était un Dieu.  Ces empires chrétiens avaient une emprise sur le pouvoir politique romain.  Le chisme protestant avait connu les mêmes problèmes de pouvoir.  

 

 

L'absolutisme du pouvoir de l'Église catholique,  tout cela va se théoriser.  Le roi dit,  je suis un chef religieux,  parce que c'est Dieu qui l'a voulu, pour asseoir son autorité.  L'église n'est pas mariée avec l'état.  C'est faux de dire que c'est moins de religion,  plus d'état.  Les guerres de religions étaient provoquée par les pouvoirs politiques.  C'est faux de dire que ce sont des guerres de religions,  alors qu'il s'agit de guerres politiques.  
Diderot disait.  Toutes questions par rapport à la religion n'est qu'une absurdité.  
Le rôle de l'Etat est de recommander de croire en Dieu.  Le fruit des lumières n'est qu'une pure idée fausse. A la révolution,  on commence a supprimer au nom de la liberté les ordres monastiques,  on demande au clergé de rembourser l'état.  Il faut avoir une idée positive de la révolution française.  Le concordat,  sous Napoléon,  réglemente le régime du clergé. 

 

 

  Tous les pays d'origine catholique respectent la liberté religieuse,  liberté de penser,  la démocratie.  C'est l'église catholique romaine qui a la pratique de la démocratie, 

avec la déclaration des droits de l'homme.  
La loi de 1905 a été mal vécue,  c'était un maillon d'une chaîne qui consistait à éliminer l'église,  en particulier,  Jules Ferry,  Vivianni,  Edgar Quinet.  Prétendre que c'est l'Etat qui mis en place la loi de 1905. Dire qu'on est laïc,  signifie que l'on est chrétien catholique. 

Le principe de laïcité est fait pour gommer les racines chrétiennes. 

Toutes les religions peuvent vivre dans un pays laïc tout en respectant son droit. 

Il ne faut pas confondre laïcité et athéisme d'état. 

Le paradoxe de la laïcité, devient à éxpier nos crimes passés, avec la culture de la repentance.

 

 

La France est un pays qui vient du christianisme. Laiciser les autres religions,  c'est les faire adopter le christianisme.  Notre ordre public, c'est d'origine chrétienne.  Il ne serait pas choquant que l'état intervienne dans la formation des imams et la construction des mosquées.

  L'église s'exprime,  l'état intervient. 

 

 


Commentaires

   Commentaires terminés   Fermer les commentaires
 
0 commentaire
 
 
 

Ajouter un commentaire

Pseudo : Réserve ton pseudo ici
Email :
Site :
Commentaire :

Smileys

 
 
 
Rappel article