Faire ensemble, vivre ensemble, agir pour la Paix

« Si Dieu l’avait voulu, il aurait fait de vous une seule communauté. Mais il a voulu vous éprouver par le don qu’il vous a fait. Cherchez à vous surpasser les uns et les autres par les bonnes actions. Votre retour à tous se fera vers Dieu, il vous éclairera au sujet de vos différends » (Sourate 48-verset 5).

posté le dimanche 25 septembre 2016

le 25 septembre 2016 : Cérémonie au cimetière israélite de la Mouche la « cérémonie du souvenir des martyrs, victimes de la barbar

 

 

 Ce dimanche 25 septembre à 11h30, comme chaque année à même époque, a lieu au cimetière israélite de la Mouche la « cérémonie du souvenir des martyrs, victimes de la barbarie nazie ».

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  Depuis la Libération, cette cérémonie, présidée par le Grand Rabbin de Lyon, honore la mémoire des déportés, assassinés ou encore privés de sépulture.
 

Ce cimetière, comme la rue qui y conduit à partir de la place Jean Jaurès, porte tout particulièrement le souvenir d’un homme étonnant : le Grand Rabbin Abraham Bloch, qui fut grand rabbin de Lyon à la fin du XIXème siècle et au début du XXème. Celui-ci, né à Paris en 1859, était le petit fils de Moïse Bloch, un érudit et un sage juif d’Alsace dont les Juifs ont conservé un pieux souvenir. D’abord rabbin dans les Vosges, puis Grand Rabbin d’Alger et ensuite de Lyon, Abraham Bloch décide, en 1914, de s’engager comme aumônier militaire afin d’être aux côtés des soldats dans la défense de la patrie.

Là, il se distingue par la qualité de sa présence humaine et spirituelle, mais aussi parce qu’il est toujours vêtu d’une soutane noire qui le fait ressembler à ses « collègues » prêtres catholiques 

 

 


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posté le samedi 24 septembre 2016

le 24 septembre 2016 : Conférence-débat sur le thème de la place de l'Amour dans la Tradition Islamique. au Musée Africain à Lyon

 

 

 

 

" La place de l'amour dans la tradition islamique", 

 

par le docteur Mohamed Yacoubi
Missions Africaines 150 cours Gambetta à Lyon 7 ème.
 

 

 

 

 

 

 

 

 

 Quand il faut parler de l'amour avec un grand A. La tradition,  c'est ce qui n'est pas humain,  c'est supra-humain.  C'est à dire que c'est au delà de ses possibilités.  La tradition,  c'est le rituel et la loi. 

La loi est individuelle,  le rituel,  c'est le coeur de la loi.

 

 

 La tradition ne s'arrête pas aux formes. 

L'homme est partagé entre l'amour de Dieu et l'amour physique,  il y a des hauts et des bas.  Il y a des des amours qui sont multiples.  Par,  l'esprit,  par le cheminement vers Dieu.  Par la foi et la connaissance.

 

 

   C'est la foi et la loi qui empêchent l'homme de chuter, il y a des gens qui sont sans foi ni loi.  Les gens qui qui veulent s'élever,  c'est un amour pour Dieu. C'est un amour qui est pur,  qui est sincère.  Il purifie l'amour qui est pour Dieu. La purification de l'amour,  se fait par l'amour. 

 

 

 C'est comme la foi,  c'est une écriture divine. N'a pas la foi,  c'est celui qui n'a pas l'amour.  L'amour,  c'est ma foi,  c'est ma religion.  L'amour,  c'est comme la levure,  c'est ce qui fait lever la foi,  après,  il faut apprendre à le garder.  

 

 

 

 

 

 

 L'amour est la raison d'être de tous les êtres,  c'est l'amour pour Dieu.  Il y a toujours un reflet de l'amour et de l'existence.  Dieu a créé l'homme par amour,  l'amour est a l'image de Dieu.

 

 

 

 

 C'est un homme parfait qui apparaît sous les attributs de la divinité.  Les degrés de l'existence,  c'est la manifestation de la révélation de l'amour.  Notre amour est pour Dieu,  c'est un amour voilé.  Toutes relations d'amour,  ce sont des relations avec Dieu.

 

 

 

 

Chant Samâa 

 

 

 

 

 

 

 

  
 


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posté le vendredi 23 septembre 2016

le 23 septembre 2016 : Conférence-débat avec Adrien Candiard à l'Agora Tête d'Or à Lyon "Islam : le temps de comprendre ?"

 

 

 

 

 En France, l’islam est omniprésent dans le débat public. Alors que certains experts parlent d’une religion de paix, d’autres insistent sur sa brutalité. Le public ne se perd-il pas dans ce flot d’analyses contradictoires ?

 

 

La multitude d’interventions sur l’islam n’apporte pas de réponses aux questions que se posent la plupart des gens, la première étant:« Faut-il avoir peur de l’islam ? » Les différentes prises de position reposent sur le même présupposé : il y aurait une essence de l’islam qui permettrait de tout expliquer. Une autre question concerne la distinction entre islam et islamisme. Cette comparaison a le mérite de reposer sur de bons sentiments, de rappeler que la plupart des musulmans ne sont pas du tout des terroristes. Mais l’islamisme est une réalité construite à partir de ce que l’on n’aime pas dans l’islam. Appeler les poseurs de bombes islamistes, d’accord. Mais quand une femme porte le voile, est-ce islamiste ou islamique ? Difficile de répondre. Cette construction ne correspond pas aux distinctions que posent les musulmans eux-mêmes.

Il faut accepter que l’islam soit une réalité complexe. 

 

 

Entre les différents groupes chiites, les écoles sunnites ou l’opposition soufisme-wahhabisme, la religion musulmane est d’une diversité impressionnante.

Finalement, quel socle partage l’ensemble des musulmans ? 

 

 

 Il existe un socle commun : la révélation coranique, la référence au Prophète Mahomet, ainsi qu’un monothéisme vigoureux, un attachement central à l’unicité divine.

Après cela, la diversité culturelle, théologique et spirituelle est très grande.

Au cours de l’histoire, l’islam a su construire des outils de contrôle de cette diversité.

Aujourd’hui, cette régulation fonctionne moins bien, voire dysfonctionne assez gravement.

 

 

 Si le Coran est la source de toutes les traditions, peut-il être pour autant considéré comme le « vrai visage » de l’islam ?

 

 

 La référence à la révélation coranique est classique, mais penser connaître l’islam en ouvrant le Coran est tout à fait illusoire. On peut le lire et l’interpréter de manières très différentes. Ce livre saint est polysémique. On ne connaît pas le sens de tous les mots anciens avec certitude. Quelqu’un doit nous en donner la clé. La tradition musulmane, via ses différentes écoles, compose diverses clés. En tant que non-musulmans, nous ne pouvons pas définir qui a raison.

Il serait tentant de considérer que l’approche historico-critique est la vraie interprétation, car c’est le sens que l’Occident veut lui donner.

Mais cela ne nous concerne pas.

Son sens apparemment littéral n’est pas nécessairement son sens véritable.

 

 

Dans l’interprétation du Coran, quelle place occupe le raisonnement logique face au texte révélé ? 

 

 

 Bertrand Wallon

(Secrétaire Général de l'Association des Amis de l'IDEO)

 

 

 

 

 

 

En regardant l’histoire de l’interprétation coranique, on s’aperçoit que tout est possible. Le chiisme a ses propres règles et, au sein du sunnisme, on retrouve une grande diversité. La plupart des musulmans s’attachent aux interprétations de la Tradition, avec une vraie diversité en son sein. On a pu donner des interprétations spirituelles de certains versets très juridiques. Mais aujourd’hui, une approche plus littéraliste a le vent en poupe. Elle interprète les versets sans raisonnement, essentiellement à partir de la tradition prophétique. Pour aborder la question de la rationalité en islam, il faut néanmoins différencier l’approche occidentale – marquée par les Lumières et une affirmation rationaliste comme sortie possible de la religion – de la civilisation islamique où le rationalisme n’apparaît pas toujours comme la voie vers la tolérance. Ainsi, au IXesiècle, des mouvements rationalistes ont pu être violents. Le calife abbasside Al-Mamun a décidé de faire de la théologie mutazilite – une version rationnelle du credo musulman – la forme officielle de la religion. Malgré une tentative d’imposition par la force à l’aide de la Mihna, l’inquisition musulmane, il n’y est pas parvenu. Encore aujourd’hui, la raison est très souvent affirmée par certains fondamentalistes comme fondement de leurs certitudes. 

 

 

 Vous affirmez que, si le Coran est la théorie, la pratique de l’islam découle plutôt des hadiths, les propos du Prophète.

 

 

À côté du Coran, un vaste corpus de textes racontant les paroles et actes du Prophète a été rassemblé à partir d’une tradition orale, deux siècles après la mort de Mahomet.

*Objets de nombreuses discussions sur leur authenticité, ces hadiths ont une importance considérable.

Il s’agit de chercher la source du droit concret.

Si le Coran affirme qu’il faut prier, il ne dit pas comment.

Ce sont les hadiths qui racontent comment le Prophète priait, et enjoignent les musulmans de l’imiter.

La vie du Prophète sert ainsi d’interprétation du Coran. 

 

 

 En Occident, le terme de sharia fait peur et est souvent associé à un corpusjuridique. Cette expression, qui désigne « la voie de Dieu », est-elle un véritable ensemble législatif ?

 

 

 La sharia, c’est la voie que Dieu trace pour nous, ce qu’il nous demande. Difficile pour un musulman de se prononcer contre la sharia : cela signifierait qu’il est contre la volonté de Dieu. En général, ce terme est employé pour parler de l’Arabie Saoudite, sharia devenant synonyme d’arriération totale et de barbarie. En réalité, ce pays applique des règles traditionnelles de l’école hanbalite, particulièrement rigoriste. Mais cette application n’est qu’une manière d’envisager lasharia. D’autres écoles traditionnelles de droit proposent des règles différentes. Parfois, ces applications ne sont pas forcément juridiques : pour certains groupes soufis, la volonté de Dieu est d’abord du niveau de la spiritualité. Enfin, les juristes rédigeant aujourd’hui les codes civils dans les pays musulmans n’ont pas l’impression de s’éloigner de la volonté de Dieu.

 

 

 Depuis sa création, l’islam est une religion politique. Faut-il en conclure que l’islam est incompatible avec la démocratie, comme l’affirment certains ?

 

 

En un sens, toute religion est politique parce qu’elle a à voir avec la vie humaine et sociale. L’islam naît dans un contexte politique, avec la création de la cité-État de Médine par le Prophète. Faut-il en conclure que l’islam doit toujours ressembler à ce moment originel ? Si certains musulmans le pensent, d’autres, comme le théologien égyptien Ali Abderraziq (1888-1966), cheikh de l’université d’Al-Azhar, affirment que l’époque du Prophète est liée à un contexte particulier, que personne ne peut refaire ce que Mahomet a réalisé. Une autonomie de la sphère politique peut donc être envisagée. La distinction entre politique et religion a quasiment toujours existé : le sultanat, forme habituelle de gouvernement dans l’histoire de l’islam, n’est qu’une fonction politique gouvernant à côté d’un corps religieux, celui des oulémas. En revanche, si le pouvoir politique peut être autonome, il ne peut pas changer la loi divine. L’enjeu n’est alors pas d’élire les représentants, mais que ces derniers puissent édicter des lois sans être contraints par la loi religieuse. Dans ce cadre, notre conception de la démocratie ne peut pas fonctionner. Mais l’expérience du monde musulman, au XXe siècle, démontre qu’il est possible d’avoir des parlements votant des lois autonomes fondées sur la souveraineté populaire. 

 

 

 Alors que sunnites et chiites ne sont plus aussi éloignés qu’aux premiers siècles de l’islam sur le plan théologique, comment expliquer l’explosion du conflit entre ces deux courants depuis la seconde moitié du XXe siècle ?

 

 

 Cette division très ancienne a entraîné des oppositions théologiques et spirituelles très dures. Beaucoup de chiites considéraient que le Coran dans son état actuel n’était pas le vrai Coran. On n’en est plus là. Aujourd’hui, chiites et sunnites s’accordent sur de nombreux points. L’opposition n’est pas tant religieuse qu’identitaire et politique, exacerbée par la concurrence géopolitique entre l’Iran et l’Arabie Saoudite. Mais, si le monde chiite est relativement ordonné et régulé par le clergé iranien, le monde sunnite est pour sa part extrêmement divisé. Le monde des oulémas, autorités régulant traditionnellement le monde sunnite, est entré en crise. Ce clergé traditionnel est remis en question par des courants plus récents comme le salafisme, qui nient toute possibilité de régulation de la foi musulmane sunnite. Les deux camps luttent pour définir qui peut affirmer ce qu’est le véritable islam.

 

Alors que le salafisme se réclame de l’islam des ancêtres, vous affirmez qu’il est le contraire de la tradition.

Né à la fin du XIXe siècle, le salafisme est un mouvement moderne dans sa conception du monde. Il constitue une réaction devant les échecs des instances traditionnelles n’ayant pas su faire de l’islam une force capable de résister à la domination militaire, technique et intellectuelle de l’Occident. Aux yeux des salafistes, l’erreur a été d’abandonner l’islam des origines, capable selon eux de vaincre les plus grands empires. Ils ne veulent donc pas maintenir ce qui existe et a été reçu des parents et des grands-parents, mais faire un bond fantasmé de plusieurs siècles en arrière. Ce n’est pas un islam de tradition, mais un islam reconstruit. En général, les salafistes sont tout à fait pacifistes et ne remettent pas en cause l’ordre établi. Mais le fait est que tout le djihadisme contemporain est né sur ce terreau salafiste. D’autres mouvances d’islam politique, comme les Frères musulmans, ont pu mener des expériences discutables voire désastreuses, mais n’ont jamais entraîné des gens dans l’aventure djihadiste et la recherche de la destruction de l’Occident.

 

 

Le recours à la théologie est-il nécessaire dans le combat contre les idéologies religieuses destructrices ? 

 

 

 En France, on est particulièrement analphabètes en matière religieuse. Ces dernières années, on a timidement commencé à se dire qu’il fallait introduire le fait religieux à l’école. Dans la religion, il n’y a pas que le folklore et les fêtes. Il y a aussi une pensée religieuse, parfois intéressante, parfois inintéressante, parfois sérieuse, parfois inepte. Si on n’est pas formé à appréhender cette pensée-là, on peut être le jouet de n’importe quel charlatan. Être éduqué en matière religieuse est certainement le meilleur antidote que l’on puisse espérer contre les dérives religieuses.

 

  
 


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posté le vendredi 23 septembre 2016

le 22 septembre 2016 : Conférence Méditation  de Jayanti Kirpalani sur le thème "Entretenir la flamme de l'espoir". À Espace cultu

 

 

Conférence Méditation  de Jayanti Kirpalani sur le thème

"Entretenir la flamme de l'espoir".

À Espace culturel Saint-Marc, 10 rue Sainte Hélène à Lyon 2ème

 

 

Depuis plus de 40 ans, Jayanti Kirpalani est une émissaire de paix connue pour son expérience internationale et sa vision profondément spirituelle. 

 

 

 

 

 

 

 Conférencière appréciée dans plus de 90 pays, elle dirige le Bureau de Coordination Internationale des centres de raja-yoga à Londres, représentant 20 pays en Europe et au Moyen-Orient.

 

 

 "Quand je change le monde change. Comment faire de cette phrase une réalité ? En recueillant force et lumière de la méditation".

   Directeur, Brahma Kumaris Université spirituelle mondiale, Europe, Moyen - Orient et du Nord, de l' Ouest, l' Afrique du Sud. 

 

 

 Londres sur la base, BK Jayanti a beaucoup voyagé en tant que conférencier international, diffuseur et un émissaire de la paix pour les 35 dernières années. Elle a coordonné plusieurs projets internationaux en relation avec les femmes, le développement, l' environnement et les jeunes. Elle continue de jouer un rôle extrêmement crucial pour aider la coordination de la Les activités de l'Université dans plus de 90 pays et plus de 7000 agences. 

Elle est également le représentant Brahma Kumaris à l'Organisation des Nations Unies, à Genève. 

 

 

 Elle a été un conseiller du Conseil pour un Parlement des Religions du Monde et membre du Comité consultatif de le Centre Interfaith International et elle est membre du Comité exécutif du Congrès mondial des religions. 

 

 

 

 

Quand des personnes de religions différentes se rencontrent,  c'est une atmosphère de paix qui s'installe entre ces personnes.  

 

   

 

 Le travail de BK Jayanti implique spirituelle conseil, l'enseignement et la traduction. Elle a une capacité unique de répandre des vérités spirituelles profondes avec la plus grande clarté. En tant que conférencier international et milliers diffuseur, BK Jayanti a aidé des gens à développer une plus grande harmonie et le bien-être dans leur vie. Un expert dans la création du «milieu intérieur», elle explore en profondeur la façon dont l'état de notre esprit et de sentiments créer de l'énergie autour de nous qui détermine les expériences de notre vie. Elle est bien conférencier recherché et a de nombreuses publications imprimées et enregistrées.

 

 

 

 

 

 Les réseaux sociaux permettent également de mieux communiquer dans le monde entier,  ce qui laisse beaucoup d'espoir. L'esprit humain est empli de bonté, la bonté et la compassion humaine commence a émerger.

 

 

   L'esprit humain,  a une bonté fondamentale.  Et plus on la nourrit,  plus elle devient palpable.  Nous réalisons que notre vie peut être consacrée au service des personnes. 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 
 


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Gardy  le 12-10-2016 à 05:54:34  #

Notre but est, dans un futur proche, aller en Haïti et directement faire quelque chose pour le peuple. En tant qu’Haïtien qui a aussi vécu la misère , je connais la souffrance. Présentement, il nous faut du soutien. Aimer et partager notre page ...IcareforHaiti... sur Facebook.
Il était 16h53, le 12 janvier 2010, quand une secousse de magnitude 7 sur l’échelle de Richter a semé le chaos en Haïti. les haïtiens ont entendu le sol trembler, les immeubles s'effondrer, les gens crier de douleur. 220.000 personnes ont perdu la vie et 300.000 ont été gravement blessées.
On a parfois l'impression que le sort s'acharne sur l'île.
Il y a eu des tornades, des ouragans meurtriers de 2009 qui ont fait plus de 800 morts. Il faut ajouter à toutes ces catastrophes une situation politique toujours très instable et une extrême pauvreté de la population. Le pays est devenu plus pauvre que jamais surtout après l'ouragan Matthew. Des milliers de maisons ont été rasées, des écoles, des routes et des ponts endommagés, des exploitations agricoles et industrielles détruites. Environ 1,3 millions de personnes – sur une population de 10,3 millions – ont été affectées par l’ouragan Matthew. Parmi elles, plus de 750 000 ont besoin d’assistance humanitaire, estime le Bureau des affaires humanitaires des Nations unies (OCHA). Déjà en temps normal, survivre chaque jours est une bataille quotidienne pour des millions d'Haïtiens, dont près de 80 % vivent au dessous du seuil de pauvreté. Ayons un but commun pour Haïti, c’est un cas d’urgence

Fanny39  le 23-09-2016 à 14:42:09  #   (site)

Félicitations pour ce message d'espoir et d’espérance pour la paix.
Que la paix arrive le plus rapidement possible.

 
 
 

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