Sacra Arta Festival d'arts sacrés à Église Saint Thomas 16 avenue Pablo Picasso à Vaulx-en-Velin
Mustapha Rihani : ney
L’Oiseau de Feu : Musiques et poèmes mystiques d’Orient et d’Occident
Pyramide de chaussures de Lyon 2019 Organisé par Handicap International - Humanity & Inclusion Place Bellecour à Lyon
25 ans de mobilisation citoyenne. Et maintenant ?
En 1995, la première Pyramide s’élevait pour dire non aux mines antipersonnel. 25 ans plus tard, la mobilisation citoyenne a payé : deux traités internationaux interdisent désormais les mines et les bombes à sous-munitions (BASM).
Mais aujourd’hui, le combat de Handicap International s’intensifie au rythme du nombre de victimes civiles frappées par les bombes.
Dans les villes syriennes, irakiennes ou yéménites, les bombardements massifs font 92% de victimes civiles. Il est urgent de se mobiliser pour mettre fin à ces pratiques indignes.
Le 28 septembre, partout en France, les citoyens sont invités à venir lancer une chaussure, symbole depuis 25 ans de la solidarité avec les victimes mutilées, sur la Pyramide et à signer la pétition.
Plus que jamais, le combat pour protéger les civils contre les pratiques intolérables et les armes indiscriminantes a besoin du soutien du public.
Cet engagement massif des citoyens, relayé par les médias, marquera un tournant dans le droit international. Pour la première fois, deux traités majeurs seront signés : le Traité d’Ottawa contre les mines antipersonnel en 1997 et le Traité d’Oslo contre les bombes à sous-munitions en 2008. Cette victoire citoyenne a permis de diviser par quatre le nombre de victimes des armes explosives dans le monde.
Ne pas relâcher le combat
Le combat se poursuit à l’heure où les guerres actuelles se déroulent au cœur des villes, noyées sous des tapis de bombes ou piégées par des engins explosifs, faisant des civils les premières victimes : Syrie, Yémen, Irak…
Aujourd’hui placée face à ses contradictions au Yémen, la France est aux abonnés absents. À l’occasion de la 25e Pyramide de chaussures, Handicap International appelle les Français à se mobiliser pour qu’Emmanuel Macron s’engage concrètement dans le processus diplomatique visant à mettre fin à l’utilisation des armes explosives en zones peuplées.
Le 28 septembre, partout en France, les citoyens sont invités à venir lancer une chaussure sur la Pyramide symbole depuis 25 ans de la solidarité avec les victimes mutilées, et à signer la pétition. À travers la réalité virtuelle, des démonstrations de déminage, chacun sera aussi amené à imaginer le parcours d’une victime et à agir à son échelle pour dire STOP aux bombardements des civils.
Entre la Pyramide (28 septembre 2019) et la Conférence de Dublin (mars 2020), il ne restera donc que 6 mois pour convaincre un maximum d’États de signer cette déclaration politique visant à mieux protéger les civils des bombardements. Au premier rang desquels la France, qui à ce jour s’oppose toujours à cette avancée historique. Pendant cette période, HI fera également la promotion du sujet au Forum international de la Paix à Paris (novembre 2019) et travaille sur une conférence interparlementaire en janvier 2020 dans la capitale française. Six mois pour gagner le combat…
Table ronde + Concert : Symbolum A Organisé
par Arta Sacra - Festival d'Arts Sacrés
à l'Espace Protestant Théodore Monod à Vaulx en Velin
Avec : Nadine Heller, Pasteure à l'Espace Protestant Théodore Monod
Symbolum A - Création danse et musique
Rencontre entre Joseph Aka, chorégraphe et danseur franco-ivoirien (Cie Abissa) et l’organiste Arthur Nicolas Nauche autour d’improvisations musicales et chorégraphiques contemporaines, rendant hommage à Saint Antoine l'Abbé et Saint Maurice d’Agaune, deux figures protectrices célébrées depuis le XVe siècle en Savoie.
Cérémonie de la journée nationale d'hommage aux Harkis et autres membres des formations supplétives au Monument aux Morts de la ville d'Oran Place Bachaga Boualem (Balmont-la Duchère) à Lyon 9ème
Ils se sont battus par patriotisme comme supplétifs de l'armée française entre 1954 et 1962 pendant la guerre d'Algérie. Cinquante sept ans plus tard, les Harkis attendent toujours la reconnaissance des massacres subis en Algérie tout comme celle de leur abandon par la France.
Pour ces Harkis d'hier et leurs enfants d'aujourd'hui, rejetés par la France, les Harkis le sont aussi par les Algériens.
Aujourd'hui encore, les familles réclament un droit d'inhumation en Algérie. Il est des rituels qui fondent nos sociétés. L'inhumation en est un. Les relations diplomatiques entre la France et l'Algérie peuvent certainement dénouer cette situation afin que leurs morts reposent en paix sur leur terre d'origine.
Les Harkis sont si souvent dénigrés que leur voix ne porte pas. Et pourtant, si leurs aînés ont été les seconds de l'armée, ils restent des Français de premier plan.
Notre devoir est non seulement de leur rendre hommage pour leur courage mais aussi de les aider à laver leur honneur vis à vis de leurs enfants et de la société.
Remise des insignes de chevalier de l'ordre du Mérite à Fatma Fefif
Allocution de Mohamed Rabehi
Allocution de Clément Vivès Secrétaire général adjoint de la Préfecture du Rhône
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