Conférence débat sur le thème : « Les voies de l'engagement catholique : hors du parti, point de salut ?» dans le cadre de l'Atelier Culture Politique des Alternatives Catholiques au Simone 45 rue Vaubecour à Lyon 2 ème en présence de Marie Hélène Lafage, avec François Mandil, EELV ; Dominique Potier, député PS, fondateur d’Esprit Civique ; Charles Vaugirard, historien, cofondateur des Cahiers Libres ; et Paul Colrat, philosophe.
Paul Colrat, philosophe
et Marie Hélène Lafage
Marie Hélène Lafage
François Mandil, EELV
et Charles Vaugirard, historien, cofondateur des Cahiers Libres
Dominique Potier, député PS, fondateur d’Esprit Civique
et François Mandil, EELV
Marie Hélène Lafage
Paul Colrat, philosophe.
Charles Vaugirard, historien, cofondateur des Cahiers Libres
François Mandil, EELV
Dominique Potier, député PS, fondateur d’Esprit Civique
Paul Colrat, philosophe.
François Mandil, EELV
Dominique Potier, député PS, fondateur d’Esprit Civique
et rançois Mandil, EELV
Charles Vaugirard, historien, cofondateur des Cahiers Libres
et Paul Colrat, philosophe
Dominique Potier, député PS, fondateur d’Esprit Civique
François Mandil, EELV
Soirée Hommage à Hocine Aït Ahmed : Une foi inébranlable dans l’idéal démocratique
à la Maison des Passages, 44 Rue Saint-Georges, à Lyon 5 ème
Cette soirée est organisée en partenariat avec La Maison des Passages,
Coup de Soleil, CARA et l'Association France-Algérie Rhône Alpes
Engagé très jeune au sein du Parti du Peuple Algérien (PPA) dès 1943 alors qu’il était encore lycéen, il est l’un des 9 chefs « historiques » qui organisèrent le déclenchement de l’insurrection le 1er novembre 1954. Au congrès clandestin du PPA tenu en février 1947 à Belcourt (à l’est d’Alger), il soutient la création d’une Organisation Spéciale (OS) qu’il dirigea jusqu’en 1949. Organisation paramilitaire clandestine du Mouvement pour le Triomphe des Libertés Démocratiques (MTLD), l’OS avait pour mission le recrutement, la formation, l’approvisionnement en armes et la préparation à la lutte armée dans les plus brefs délais. A la réunion du comité central élargi du MTLD, tenue fin décembre 1948 à Zeddine à Aïn Defla, Aït Ahmed avait défendu dans un rapport lumineux et décisif le projet d’une guerre de partisan dont le fer de lance sera la paysannerie en rupture avec l’illusion d’un messie libérateur du pays. Pour doter l’OS de l’armement nécessaire au déclenchement de la guerre, Aït Ahmed planifia et participa personnellement avec un groupe de cadres de l’OS au braquage, sans effusion de sang, de la poste d’Oran en mars 1949. Cette opération à haut risque, il la mena sans en aviser le bureau politique du parti (MTLD) alors qu’il y siège. L’argent récupéré (environ 3 millions de francs) avait servi à acheter les premières armes à Ghadamès en Libye. Membre du Conseil National de la Révolution (CNRA) et Ministre d’État du Gouvernement Provisoire de la République Algérienne (GPRA) dont il est l’inspirateur depuis la prison, Aït Ahmed représente l’Algérie en guerre à la conférence de Bandung (en 1955) puis aux Nations Unis à New Work. Il est, pour ainsi dire, le premier diplomate de l’Algérie en guerre. Arrêté en 1956 par l’armée française en même temps que d’autres chefs historiques (Khider, Boudiaf, Lacheraf, Ben Bella) lors de l’interception et l’arraisonnement de l’avion qui devait les conduire à Tunis. Libéré en 1962, après le cessez le feu proclamé le 19 mars, il tente une expérience d’opposition légaliste au sein de la première Assemblée constituante. Après l’échec de cette tentative, il fonde avec de nombreuses personnalités politiques et militaires le Front des Forces Socialistes le 29 septembre 1963.
Arrêté le 17 octobre 1964 à Ath Zellal en haute Kabylie, il sera condamné à mort, puis gracié et s’évade de la prison d’El Harrach à Alger le 1er mai 1966. Il poursuit depuis l’exil son combat pour l’instauration d’un régime démocratique en Algérie. Après l’ouverture du champ politique en 1989, il rentre en Algérie en décembre de la même année. Il organise avec le FFS de nombreuses activités politiques et notamment la marche historique du 2 janvier 1991 à Alger pour empêcher l’annulation du 2e tour des premières élections législatives pluralistes. L’armée a finalement annulé cette élection et a organisé la vacance de toutes institutions en mettant en place le Haut Comité d’État (HCE) à sa tête Boudiaf qui sera assassiné le 29 juin 1992 par sa garde rapprochée. Le champ politique est de nouveau verrouillé, les assassinats d’intellectuels, hommes politiques, journalistes… avaient atteint un rythme effrayant. Hocine Aït Ahmed est contraint de nouveau à l’exil. Âgé et malade, il s'est retiré de la vie politique depuis le dernier congrès du FFS en mai 2013 et il est décédé le 23 décembre 2015 à Lausanne.
Tahar Khalfoune, Juriste et universitaire
Madjid BENCHIKH, professeur émérite à l'université Cergy-Pontoise Paris et ancien doyen de la faculté de droit d'Alger.
Etait président d'Amnisty Internationnal à Alger.
Parler de Hocine Ait Ahmed, le temps est trop tôt d'en parler.
J'espère que le temps viendra où on pourra parler.
Est revenu en 1990, il n'a pas cessé de me poser des questions, comment ça se passait en Algérie. Pourquoi il y a des pénuries d'eau.
A eu l'impression qu'il voulait apprendre.
Il lui a répondu qu'il fallait apprendre avant de pouvoir parler.
Hocine Ait Ahmed, était militant des Droits de l'homme. Venir à la politique à la base d'une élection. Il n'était pas question qu'on embrigade les universitaires. Pouvait très bien être élu sans avoir la carte du parti.
A l'époque, ces élections ont été annulées.
Participer à des élections politiques en Algérie, ne pouvait qu'alimenter un débat d'idées. Ne voulait pas être membre du parti FFS. Le terrorisme s'est installé sur le territoire algérien. Lui a dit, il faut que tu te protèges, parce que en te protégeant toi même, tu protèges les autres. Il avait le soucis de protéger les autres. Saddam Hussein, aurait été le symbole de la résistance irakienne. En Algérie, on ne peut pas soutenir une dictature tel que Saddam Hussein.
Lahouari ADDI, professeur de sociologie politique à Sciences Po Lyon
Hocine Ait Ahmed était une synthèse de Montesquieu et de
Dans l'histoire enseignée dans les écoles, il a été imprégné de c'est histoires universalistes.
Il ne vehiculait pas l'idéologie du mouvement populiste algérien. Il y avait 2 leaders, Ferat Abbas et Hocine Ait Ahmed. En 1963, il n'était pas d'accord avec le pouvoir en place. Il n'était pas opposé à la réforme agraire. Si on ne donne pas au pouvoir une autorité.
Il était en avance sur son temps. A eu la chance de le rencontrer 3 ou 4 fois, avait le sens des perspectives historiques.
Veut faire un parallèle avec Ben Bella, qui lui n'avait pas de retenue,
alors que Hocine Ait Ahmed avait plus de retenue.
Il y a des taches que doivent faire plusieurs générations.
L'Algérie a perdu 60 ans pour rien. C'est l'armée qui détient le pouvoir.
Suivi d'un hommage musical avec le chanteur Mustapha Aissi
mes chers amis
le père Luc Athimon
célèbre l'Eucharistie dans l'église décorée par FUSARO
Olivier Dumonteil organisateur de concerts rock
(fils de Stevie Dixon (rock critic) et de Odyle Colin (metteur en scène)
et son amie Marianne
bYg et Claude Chalaguier metteur en scène du Groupe Signes
le peintre Ariel explique son travail au père Athimon
Monique Vacogne (compagne du peintre Robert Düran décédé en mai 2015) a tenu a assister au 3 ème Printemps des Artistes
on reconnait aussi Christian Denis, Sonny Meyer peintre,
Madame Feschet (Association Valentin Haüy Mâcon),
Gerard Duchêne écrivain, Claude Chalaguier...
et aussi parmi d'autres artistes Maggy et Gabriel Vartore-Neoumivakine (poète Russe ami de Régis Bernard et de Evaristo),
le peintre Ariel, Stevie Dixon et Odyle Colin, Melly Monne (peintre)
sur le retour vers Paris, Hend Zouari reviendra à Saint Jacques des Arrêts
elle l'a promis à Evelyne
Ariel et Jean Claude Reverchon (ancien directeur de la Fondation Fourvière) semblent bien s'entendre
Hend Zouari le lendemain matin, signe le livre d'or
deux des 4 pages remplies du livre d'or pour le Printemps des artistes
vous êtes venus très nombreux
cette 3ème année à St Jacques
pour célébrer ensemble autour de FUSARO
l'Art & les Artistes et je m'en réjouis forcement
vous avez apprécié cette communion fraternelle
avec le père Luc Athimon (omi) qui a partagé le repas
VOUS AVEZ NOTE LA PRESENCE DES ELUS LOCAUX
BEATRICE LACHARME maire de Saint Jacques des Arrêts
& DIDIER FOURNEL conseiller départemental du canton
que je tiens à remercier pour leur soutien à notre rendez vous
vous avez aimé bien sûr l'accueil de Sylvie à l'auberge
où nous étions (comme l'an passé) quasiment 45 convives
tous ont été présentés à chacun pour une réelle fusion
PUIS VOUS AVEZ ENTENDU MA CONFERENCE qui dit et
qui redit l'histoire de ce beau chantier voulu par le DEPARTEMENT
grâce au TALENT IMMENSE DE FUSARO un moment qui vous a plu
ensuite la MUSIQUE SOUFIE de NAZIHA AZZOUZ & HEND ZOUARI
vous a enchanté ! Il s'agissait pour moi d'inviter d'autres cultures afin
de réunifier les prières dans ce monde ou le choc Orient-Occident
est à son maximum de tension, rejoignant ainsi les intentions
de notre ami Cardinal Philippe Barbarin qui sait la souffrance
de nos frères assassinés pour leur FOI ! VOUS AVEZ AIME
LE TALENT EXCEPTIONNEL DE CES JEUNES MUSULMANES
ainsi pour TOUS la journée s'est déroulée joyeuse
festive et généreuse, pleine et chaleureuse, amicale et riche
j'ai veillé surtout à ce que chacun soit servi et nommé
Hend Zouari
Tunisienne, joue du Kanum dans l'église décorée par FUSARO
Naziha Azzouz
Algérienne chante et joue du riq dans l'église décorée par FUSARO
revenez SOUVENT à SAINT JACQUES amenez y vos amis
le PRESIDENT lors de l'inauguration avait stipulé
"FUSARO à ST JACQUES est Figure de Proue Culturelle du RHONE"
votre présence est en ce sens, la PREUVE que nous attendions
AMITIE A TOUS
bernard Yacine gouttenoire
pics bYg 22 mai 2016
MAI 2017 ST JACQUES
4ème PRINTEMPS des ARTISTES
INSCRIVEZ VOUS
MERCI A L EQUIPE PAROISSIALE D AVOIR ANIME LA MESSE
(avec Monique Triboulet et ses amies)
Michnah, veut dire, répéter. Le Talmud, c'est une façon d'expliquer aux juifs d'être juif.
Le rapport au sacré, les anciens, les morts. Comment vivre avec la nature.
La gestion du sol, les semences, le temps, le calendrier, les fêtes, le shabbat.
On dit que les juifs sont les bâtisseurs du temps. Les rapports sociaux, la famille, on va discuter de toutes les situations. Dans les dommages, on aura les structures. Le sacré, le Talmud, c'est 63 traités. On va fixer la loi par des codes. C'est Maimonide qui va le faire en hébreu. 1135 1204. Joseph Caro 1488. La loi sera sans discussion.
Les poskims, ce sont les décisionnaires.
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