Faire ensemble, vivre ensemble, agir pour la Paix

« Si Dieu l’avait voulu, il aurait fait de vous une seule communauté. Mais il a voulu vous éprouver par le don qu’il vous a fait. Cherchez à vous surpasser les uns et les autres par les bonnes actions. Votre retour à tous se fera vers Dieu, il vous éclairera au sujet de vos différends » (Sourate 48-verset 5).

posté le vendredi 27 mai 2016

le 26 mai 2016 : Conférence-débat sur le thème : "Les voies de l'engagement catholique: hors du parti point de salut ?" au Simone

 

 

 Conférence débat sur le thème : « Les voies de l'engagement catholique : hors du parti, point de salut ?» dans le cadre de l'Atelier Culture Politique des Alternatives Catholiques au Simone 45 rue Vaubecour à Lyon 2 ème en présence de Marie Hélène Lafage, avec François Mandil, EELV ; Dominique Potier, député PS, fondateur d’Esprit Civique ; Charles Vaugirard, historien, cofondateur des Cahiers Libres ; et Paul Colrat, philosophe.

 

 

 

 

Paul Colrat, philosophe

et Marie Hélène Lafage

 

 

Marie Hélène Lafage

 

 

François Mandil, EELV

et  Charles Vaugirard, historien, cofondateur des Cahiers Libres

 

 

Dominique Potier, député PS, fondateur d’Esprit Civique 

et François Mandil, EELV

 

 

Marie Hélène Lafage

 

 

 Paul Colrat, philosophe.

 

 

 Charles Vaugirard, historien, cofondateur des Cahiers Libres

 

 

 François Mandil, EELV 

 

 

 Dominique Potier, député PS, fondateur d’Esprit Civique

 

 

 Paul Colrat, philosophe.

 

 

 

 

 François Mandil, EELV

 

 

Dominique Potier, député PS, fondateur d’Esprit Civique

et rançois Mandil, EELV 

 

 

Charles Vaugirard, historien, cofondateur des Cahiers Libres 

et Paul Colrat, philosophe

 

 

 Dominique Potier, député PS, fondateur d’Esprit Civique

 

 

 

 

François Mandil, EELV  

 

 

  François Mandil, EELV, 
Charles Vaugirard, historien, cofondateur des Cahiers Libres 
et Paul Colrat, philosophe
 
 


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posté le mercredi 25 mai 2016

le 25 mai 2016 : Soirée Hommage à Hocine Aït Ahmed : Une foi inébranlable dans l’idéal démocratique à la Maison des Passages

 

 

 Soirée Hommage à Hocine Aït Ahmed : Une foi inébranlable dans l’idéal démocratique

à la Maison des Passages, 44 Rue Saint-Georges, à Lyon 5 ème

 

 

Cette soirée est organisée en partenariat avec La Maison des Passages,

Coup de Soleil, CARA et  l'Association France-Algérie Rhône Alpes 

 

 

 Engagé très jeune au sein du Parti du Peuple Algérien (PPA) dès 1943 alors qu’il était encore lycéen, il est l’un des 9 chefs « historiques » qui organisèrent le déclenchement de l’insurrection le 1er novembre 1954. Au congrès clandestin du PPA tenu en février 1947 à Belcourt (à l’est d’Alger), il soutient la création d’une Organisation Spéciale (OS) qu’il dirigea jusqu’en 1949. Organisation paramilitaire clandestine du Mouvement pour le Triomphe des Libertés Démocratiques (MTLD), l’OS avait pour mission le recrutement, la formation, l’approvisionnement en armes et la préparation à la lutte armée dans les plus brefs délais. A la réunion du comité central élargi du MTLD, tenue fin décembre 1948 à Zeddine à Aïn Defla, Aït Ahmed avait défendu dans un rapport lumineux et décisif le projet d’une guerre de partisan dont le fer de lance sera la paysannerie en rupture avec l’illusion d’un messie libérateur du pays. Pour doter l’OS de l’armement nécessaire au déclenchement de la guerre, Aït Ahmed planifia et participa personnellement avec un groupe de cadres de l’OS au braquage, sans effusion de sang, de la poste d’Oran en mars 1949. Cette opération à haut risque, il la mena sans en aviser le bureau politique du parti (MTLD) alors qu’il y siège. L’argent récupéré (environ 3 millions de francs) avait servi à acheter les premières armes à Ghadamès en Libye. Membre du Conseil National de la Révolution (CNRA) et Ministre d’État du Gouvernement Provisoire de la République Algérienne (GPRA) dont il est l’inspirateur depuis la prison, Aït Ahmed représente l’Algérie en guerre à la conférence de Bandung (en 1955) puis aux Nations Unis à New Work. Il est, pour ainsi dire, le premier diplomate de l’Algérie en guerre. Arrêté en 1956 par l’armée française en même temps que d’autres chefs historiques (Khider, Boudiaf, Lacheraf, Ben Bella) lors de l’interception et l’arraisonnement de l’avion qui devait les conduire à Tunis. Libéré en 1962, après le cessez le feu proclamé le 19 mars, il tente une expérience d’opposition légaliste au sein de la première Assemblée constituante. Après l’échec de cette tentative, il fonde avec de nombreuses personnalités politiques et militaires le Front des Forces Socialistes le 29 septembre 1963. 

 

 

 Arrêté le 17 octobre 1964 à Ath Zellal en haute Kabylie, il sera condamné à mort, puis gracié et s’évade de la prison d’El Harrach à Alger le 1er mai 1966. Il poursuit depuis l’exil son combat pour l’instauration d’un régime démocratique en Algérie. Après l’ouverture du champ politique en 1989, il rentre en Algérie en décembre de la même année. Il organise avec le FFS de nombreuses activités politiques et notamment la marche historique du 2 janvier 1991 à Alger pour empêcher l’annulation du 2e tour des premières élections législatives pluralistes. L’armée a finalement annulé cette élection et a organisé la vacance de toutes institutions en mettant en place le Haut Comité d’État (HCE) à sa tête Boudiaf qui sera assassiné le 29 juin 1992 par sa garde rapprochée. Le champ politique est de nouveau verrouillé, les assassinats d’intellectuels, hommes politiques, journalistes… avaient atteint un rythme effrayant. Hocine Aït Ahmed est contraint de nouveau à l’exil. Âgé et malade, il s'est retiré de la vie politique depuis le dernier congrès du FFS en mai 2013 et il est décédé le 23 décembre 2015 à Lausanne.

 

 

 

 

 Tahar Khalfoune, Juriste et universitaire

 

 

 

 

 

 

 

 

Madjid BENCHIKH, professeur émérite à l'université Cergy-Pontoise Paris et ancien doyen de la faculté de droit d'Alger.

 

 

 Etait président d'Amnisty Internationnal à Alger.  

Parler de Hocine Ait Ahmed,  le temps est trop tôt d'en parler.

J'espère que le temps viendra où on pourra parler. 

 

A rencontré Hocine Ait Ahmed,  avait 8 ans,  au village de Michelet, avec des scouts musulmans,  n'était pas encore dans la clandestinité. 
Scouts Musulmans d'Algérie.  Était connu a l'époque. 
Il avait dit : "Vous êtes l'espoir de l'avenir de l'Algérie".
L'a revu en 1963 au village de Michelet.
N'était pas content de ce qui se passait. 
 

 

 

 Est revenu en 1990,  il n'a pas cessé de me poser des questions, comment ça se passait en Algérie. Pourquoi il y a des pénuries d'eau. 

A eu l'impression qu'il voulait apprendre. 

Il lui a répondu qu'il fallait apprendre avant de pouvoir parler.  

 

 

 Hocine Ait Ahmed, était militant des Droits de l'homme.  Venir à la politique à la base d'une élection.  Il n'était pas question qu'on embrigade les universitaires.  Pouvait très bien être élu sans avoir la carte du parti. 

A l'époque,  ces élections ont été annulées.  

 

 

 Participer à des élections politiques en Algérie,  ne pouvait qu'alimenter un débat d'idées. Ne voulait pas être membre du parti FFS. Le terrorisme s'est installé sur le territoire algérien. Lui a dit,  il faut que tu te protèges, parce que en te protégeant toi même,  tu protèges les autres.  Il avait le soucis de protéger les autres. Saddam Hussein,  aurait été le symbole de la résistance irakienne.  En Algérie,  on ne peut pas soutenir une dictature tel que Saddam Hussein.  

 

 

 

 

 Lahouari ADDI, professeur de sociologie politique à Sciences Po Lyon

 

 

 Hocine Ait Ahmed était une synthèse de Montesquieu et de 

Dans l'histoire enseignée dans les écoles,  il a été imprégné de c'est histoires universalistes.

 

 

 Il ne vehiculait pas l'idéologie du mouvement populiste algérien.  Il y avait 2 leaders, Ferat Abbas et Hocine Ait Ahmed.  En 1963,  il n'était pas d'accord avec le pouvoir en place.  Il n'était pas opposé à la réforme agraire.  Si on ne donne pas au pouvoir une autorité.

 

 

 Il était en avance sur son temps.  A eu la chance de le rencontrer 3 ou 4 fois,  avait le sens des perspectives historiques.

Veut faire un parallèle avec Ben Bella, qui lui n'avait pas de retenue, 

alors que Hocine Ait Ahmed avait plus de retenue.

 

 

 Il y a des taches que doivent faire plusieurs générations.

L'Algérie a perdu 60 ans pour rien.  C'est l'armée qui détient le pouvoir. 

 

 

Suivi d'un hommage musical avec le chanteur Mustapha Aissi 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  
 


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posté le mardi 24 mai 2016

le 22 mai 2016 : Le 3 ème Printemps des Artistes à Saint Jacques des Arrêts (Rhône)

 

mes chers amis

 

  

le père Luc Athimon

célèbre l'Eucharistie dans l'église décorée par FUSARO

 

 

Le père Luc Athimon, bYg,
et Didier Fournel (Conseiller Départemental du Rhône)
 

 
 Didier Fournel conseiller Départemental du Rhône et Béatrice Lacharme maire de Saint Jacques soutiennent par leur présence le Printemps des Artistes, autour de l'Oeuvre de Fusaro
 

 

Olivier Dumonteil organisateur de concerts rock

(fils de Stevie Dixon (rock critic) et de Odyle Colin (metteur en scène)

et son amie Marianne  

 

 

 bYg et Claude Chalaguier metteur en scène du Groupe Signes

 

 

le peintre Ariel explique son travail au père Athimon

 

   
Gérard Duchêne écrivain et Dalila Amri artiste,
commentent les commentaires de bYg 
 

 

 Monique Vacogne (compagne du peintre Robert Düran décédé en mai 2015) a tenu a assister au 3 ème Printemps des Artistes 

on reconnait aussi Christian Denis, Sonny Meyer peintre,

Madame Feschet (Association Valentin Haüy Mâcon),

Gerard Duchêne écrivain, Claude Chalaguier...

 

 

 et aussi parmi d'autres artistes Maggy et Gabriel Vartore-Neoumivakine (poète Russe ami de Régis Bernard et de Evaristo),

le peintre Ariel, Stevie Dixon et Odyle Colin, Melly Monne (peintre)

  

 

 sur le retour vers Paris, Hend Zouari reviendra à Saint Jacques des Arrêts

elle l'a promis à Evelyne

 

 

Ariel et Jean Claude Reverchon (ancien directeur de la Fondation Fourvière) semblent bien s'entendre 

 

 

 Hend Zouari le lendemain matin, signe le livre d'or 

  

 

deux des 4 pages remplies du livre d'or pour le Printemps des artistes 

 

   

vous êtes venus très nombreux 

cette 3ème année à St Jacques

pour célébrer ensemble autour de FUSARO

l'Art & les Artistes et je m'en réjouis forcement 

vous avez apprécié cette communion fraternelle

avec le père Luc Athimon (omi) qui a partagé le repas

VOUS AVEZ NOTE LA PRESENCE DES ELUS LOCAUX

BEATRICE LACHARME maire de Saint Jacques des Arrêts

& DIDIER FOURNEL conseiller départemental du canton

que je tiens à remercier pour leur soutien à notre rendez vous

 


vous avez aimé bien sûr l'accueil de Sylvie à l'auberge 

où nous étions (comme l'an passé) quasiment 45 convives

tous ont été présentés à chacun pour une réelle fusion 


PUIS VOUS AVEZ ENTENDU MA CONFERENCE qui dit et

qui redit l'histoire de ce beau chantier voulu par le DEPARTEMENT

grâce au TALENT IMMENSE DE FUSARO un moment qui vous a plu

ensuite la MUSIQUE SOUFIE de NAZIHA AZZOUZ & HEND ZOUARI 

vous a enchanté ! Il s'agissait pour moi d'inviter d'autres cultures afin

de réunifier les prières dans ce monde ou le choc Orient-Occident 

est à son maximum de tension, rejoignant ainsi les intentions 

de notre ami Cardinal Philippe Barbarin qui sait la souffrance 

de nos frères assassinés pour leur FOI ! VOUS AVEZ AIME

LE TALENT EXCEPTIONNEL DE CES JEUNES MUSULMANES


ainsi pour TOUS la journée s'est déroulée joyeuse 

festive et généreuse, pleine et chaleureuse, amicale et riche

j'ai veillé surtout à ce que chacun soit servi et nommé 

 

 

 

Hend Zouari

Tunisienne, joue du Kanum dans l'église décorée par FUSARO 

 

 

Naziha Azzouz

Algérienne chante et joue du riq dans l'église décorée par FUSARO

 

 

  Hend et Naziha pendant le concert
 
 

revenez SOUVENT à SAINT JACQUES amenez y vos amis 

 

le PRESIDENT lors de l'inauguration avait stipulé

"FUSARO à ST JACQUES est Figure de Proue Culturelle du RHONE"

votre présence est en ce sens, la PREUVE que nous attendions 


AMITIE A TOUS

bernard Yacine gouttenoire

 pics bYg 22 mai 2016



 

MAI 2017 ST JACQUES

4ème PRINTEMPS des ARTISTES

INSCRIVEZ VOUS


MERCI A L EQUIPE PAROISSIALE D AVOIR ANIME LA MESSE 

(avec Monique Triboulet et ses amies)

 

 


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posté le lundi 23 mai 2016

le 23 mai 2016 : Cercle bible du mois de mai à Keren Or : "De la loi écrite à la loi orale" par Daniel Ollivier

 

 

"De la loi écrite à la loi orale"
par  Daniel Ollivier
de la Synagogue Libérale Keren Or à Villeurbanne. 
 
Cette loi, a été sans arrêt, modifiée.  Ce terme Halakha,  ce qui veut dire "démarche".  Gilles Bernheim,  disait,  c'est comme une bétonnière,  dès que ça s'arrête de tourner,  le ciment durcit.  L'origine de la loi,  c'est la révélation du Sinai à Moise.  Il y a une réception,  et à partir de ce moment là,  il va y avoir une transmission.  
N'applique une loi que tu ne peux pas appliquer. 
Ne porte pas un poids que tu ne peux pas porter.  

 

Michnah,  veut dire,  répéter.  Le Talmud,  c'est une façon d'expliquer aux juifs d'être juif.

Le rapport au sacré,  les anciens,  les morts.  Comment vivre avec la nature. 

La gestion du sol,  les semences,  le temps,  le calendrier,  les fêtes,  le shabbat. 

On dit que les juifs sont les bâtisseurs du temps. Les rapports sociaux, la famille,  on va discuter de toutes les situations.  Dans les dommages,  on aura les structures. Le sacré,  le Talmud,  c'est 63 traités.  On va fixer la loi par des codes.  C'est Maimonide qui va le faire en hébreu.  1135 1204.  Joseph Caro 1488.  La loi sera sans discussion. 

Les poskims, ce sont les décisionnaires.   

 

 

 Quelle est la valeur théorique de l'interprétation. C'est la tradition. 
La Thora,  c'est les 5 livres. Un four cassé,  n'est plus casher.  

 

Ce que je fais,  c'est en accord avec ma communauté.  On applique la loi,  si elle a un sens. Si on ne se consacre plus à l'étude,   nous sommes en perdition.  C'est ce qui va fixer l'identité,  c'est la conscience de l'appartenance.  Si il y a une appartenance à une communauté,  moins il y aura un pouvoir puisant.  Il y a un équilibre à trouver. 
Est ce que ceci,  tient du miracle ?
Ce qui caractérise la communauté,  c'est la discussion.  Une société qui ne peut plus débattre,  c'est une société qui tombera.  C'est la démocratie.  C'est le texte qui ouvre les questions.  C'est parce que le texte fait question,  il y a interprétation.   
 

 

 


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