Faire ensemble, vivre ensemble, agir pour la Paix

« Si Dieu l’avait voulu, il aurait fait de vous une seule communauté. Mais il a voulu vous éprouver par le don qu’il vous a fait. Cherchez à vous surpasser les uns et les autres par les bonnes actions. Votre retour à tous se fera vers Dieu, il vous éclairera au sujet de vos différends » (Sourate 48-verset 5).

posté le mercredi 06 janvier 2016

le 06 janvier 2015 : Face à la haine, un grand voyage scolaire à la Maison d’Izieu, avec les élèves de 4 établissement scolaires d

 

 

Face à la haine, un grand voyage scolaire à la Maison d’Izieu,

avec 140 élèves de 4 établissement scolaires de Lyon

 Lycée des Métiers Japy,

le Lycée ORT,

le Lycée Saint-Marc de Lyon

et le

Lycée d'Enseignement Professionnel Jamet Buffereau

 

 

Lieu d’histoire et de mémoire ouvert à tous,
le mémorial de la Maison d’Izieu perpétue le souvenir
des enfants et des adultes juifs qui y avaient trouvé refuge
de mai 1943 à la rafle du 6 avril 1944.
Attaché au présent et tourné vers l’avenir,
il suscite la réflexion sur le crime contre l’humanité et les circonstances qui l’engendrent.
À travers l’évocation des enfants juifs d’Izieu et de leurs éducateurs, c’est contre toute forme d’intolérance et de racisme qu’il entend lutter.

 

 

La Maison est dédiée à la mémoire. 

 Elle est le lieu où ont vécu les enfants et leurs éducateurs pendant près d’un an. Plutôt qu’une reconstitution, la muséographie privilégie une évocation de l’atmosphère de l’époque de la colonie et de la présence disparue des enfants. 

 La Maison esquisse ainsi le quotidien de la vie des enfants. Une signalétique discrète indique l’usage de chaque pièce ; des lettres et des dessins des enfants sont exposés dans le réfectoire ; le portrait de chaque enfant arrêté le 6 avril 1944 figure dans les dortoirs.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 
 


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christineb  le 08-01-2016 à 21:25:15  #   (site)

Une visite sûrement émouvante. C'est important de savoir ce qui s'est passé! J'aurais aussi aimé connaître les réactions de ces lycéens.

 
 
posté le lundi 04 janvier 2016

le 02 janvier 2016 : Conférence-débat sur le thème : « Solidarité et récompense divine » par Abdessamad Merimi (Imam de la Mosquée

 

 

Conférence-débat sur le thème : « Solidarité et récompense divine »

par Abdessamad Merimi (Imam de la Mosquée d'Athis-Mons),

Dans le cadre de l'opération chaleur d'hiver avec

Human Relief Foundation, en partenariat avec la

Mosquée Assalam et le Centre Culturel Abdullah Al Darwish de Nantes

(Loire Atlantique) Rue Rosa Parks

 

 

A son évident mérite, Nantes intègre au cœur de son prestigieux patrimoine, la plus spacieuse mosquée du grand ouest, la mosquée Assalam et son centre culturel Abdullah Al Darwish.

Cet édifice majestueux, d’une conception architecturale admirablement fondée sur le respect de son environnement et de son immersion dans l’urbanité de notre métropole, inspire sans complexe la résurgente mémoire du fameux traité de la tolérance et de la liberté.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

"Ceux qui dépensent leur biens dans le sentier d'Allah ressemblent à un grain d'où naissent 7 épis, à 100 grains l'épi. Car Allah multiplie la récompense à qui Il veut et la grâce d'Allah est immense, et Il est Omniscient" S2 V261

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

8200€ ont été collectés ce samedi 02 janvier 2016 à la Mosquée Assalam de Nantes en partenariat avec la Mosquée Al Houda et HRF Secours Humanitaire pour le soutien de l’opération Chaleur d’Hiver au profit des réfugiés Syriens en Irak.

 

 

 


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posté le dimanche 27 décembre 2015

le 27 décembre 2015 : Conférence-débat sur le thème : « Rohingyas de Birmanie (un) certain avenir » par Nourredine Errais (Cofond

 

 

Conférence-débat sur le thème : « Rohingyas de Birmanie (un) certain avenir » par Nourredine Errais (Cofondateur et Président du Collectif HAMEB association humanitaire créée pour venir en aide à la minorité musulmane des Rohingyas de Birmanie persécutée ) oragnisé par l'Union des Jeunes Musulmans

au Centre Tawihd 8 rue Notre Dame à Lyon 6 ème

 

 

 

 

Récitation coranique : Sourate El Hadj. 

 

 

  D’où viennent les Rohingya ?

Entre 800 000 et 1,3 million de Rohingya vivent actuellement dans l’Etat de l’Arakan, à l’ouest de la Birmanie. Un pays dont 80 à 90 % des 51 millions d’habitants sont bouddhistes.

certains historiens considèrent que les Rohingya descendent de commerçants et de soldats arabes, mongols, turcs ou bengalis convertis à l’islam au XVe siècle.

 

 

Dans le pays, l’origine même du nom de Rohingya est controversée. Les historiens birmans soutiennent que personne n’en avait entendu parler avant les années 1950. Ceux-ci renforcent la position du gouvernement qui estime que les Rohingya sont arrivés au moment de la colonisation britannique à la fin du XIXe siècle et qu’ils sont donc des immigrés illégaux du Bangladesh voisin.

 

 

Apatrides depuis 1982 Une loi de 1982 instaurée par la dictature militaire a rendu les Rohingya apatrides. Ils n’ont pas été reconnus comme faisant partie des 135 ethnies répertoriées en Birmanie. Le gouvernement birman ne reconnaît en effet que les « races nationales », celles présentes dans le pays avant l’arrivée des colons britanniques en 1823.

 

 

Sous pression des pays occidentaux et de l’ONU, le gouvernement birman a accepté avec réticence, fin 2014, le principe d’un « plan d’action » consistant à laisser la possibilité à ces résidents sans citoyenneté de demander leur régularisation. Les Rohingya voulant faire cette démarche sont cependant contraints de se déclarer comme « Bengalis » auprès de l’administration et donc de reconnaître être des immigrés illégaux.

En mars, le gouvernement a révoqué les cartes d’identité temporaires accordées jusqu’alors à des centaines de milliers de membres de la minorité musulmane, les privant du droit de vote pour les élections législatives du 8 novembre.

 

 

 

Massacre qui dure depuis plus de 30 ans,  mais ce n'est que depuis 2012,  que nous avons pris conscience de ces massacres.  La communauté musulmane ne savait ce qu'il se passait dans cette région.  Rassemblement  très important en 2014 au niveau mondial.  Axe humanitaire très important en 2013 avec Baraka City. Actions permanentes et actions ponctuelles.  Construction d'un hôpital en Malaisie.  Le Bangladesh, pays voisin,  vit dans une pauvreté absolue.  Physiquement,  le Rohingyas,  ressemble au Bengali. 

Beaucoup de réfugiés Rohingyas fuient la Birmanie pour aller au Bangladesh.  

 

 

Cela fait plus de 10 siècles que les musulmans Rohingyas vivent en Birmanie. Ne sont pas reconnus par l'état de Birmanie , sont considérés comme des étrangers.  

 

 

1948 : Création de l'état de Birmanie indépendante. U Nu devient le premier ministre.  
1962 : Le général Ne Win renverse le gouvernement de U Nu.
1982 : Mise en place de la loi relative à la citoyenneté birmane. 

 

 

Dans les années 1980,  lorsque les talibans ont détruit les statues relatives au bouddhisme, 

le gouvernement de Birmanie s'en est pris à la communauté musulmane des Rohingyas.  Actuellement, c'est un génocide,  ou un nettoyage ethnique.  

 

 

Ne pas hésiter à parler de la cause de la communauté musulmane des Rohingyas en Birmanie sur les réseaux sociaux. 

 

 

Le bengali profite de la cause des Rohingyas pour avoir des papiers en bonne et du forme. 

 

 

 

 

 

 

 

 
 


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posté le samedi 26 décembre 2015

le 26 décembre 2015 : Conférence-débat sur le thème : « Le sens de l'engagement pour le jeune musulman » par Cheykh El Houssine Ou

 

 

Conférence-débat sur le thème : « Le sens de l'engagement pour le jeune musulman » par Cheykh El Houssine Oummali (Imam de la Mosquée de Pierre Bénite et Conférencier) au Lycée Al Kindi 17 rue Sully à Décines-Charpieu, 

 

 

Le sens de l'engagement pour le jeune musulman.  
Quel est le mot le plus important ? Sens, engagement,  musulman.  Les mots sont très importants.  Alif, lam, min,  le Coran,  donne
des lettres très importantes,  le mot qui peut nous guider est le mot sens.  Il y a le mot,  et le sens de ce mot.  C'est le nom. Le seul point commun,  c'est les mots.  Est ce qu'il y a du sens dans les mots que l'on peut utiliser. 

La science des finalités. 

 

 

Faut il s'arrêter à une seule lecture littérale ? On ne peut pas lire sans en comprendre le sens. Il y a le texte et le sens de la compréhension.  Il y a le livre et le sens des versets.  La science des priorités, c'est important pour donner du sens à son engagement.  Pour cela nous avons besoin de la compréhension, pour qu'elle soit pieuse et vertueuse.  Tout ce que Dieu nous a donné,  aura du sens que si nous en avons la compréhension. 

 

 

La science,  c'est l'imam de l'action.  Pour comprendre le sens de l'engagement. Comprendre le sens du mal et où il est caché.  Et la compréhension c'est donner du sens à ce que nous comprenons.  C'est le sens qui détermine l'action. 

Bien sûr,  s'engager donne un sens à sa vie.

Quelles seraient les dérives à l'engagement ?

 

 

Le Prophète ( sallala alleyi wa salem ) demande d'oeuvrer de la meilleure manière.  Ici, il s'agit de la qualité de cette oeuvre.  Pour que notre engagement soit efficace, sur les bonnes actions,  qu'elles soient pieuses.  

 

 

Il y a les dérives de l'engagement islamique,

1 ère dérive,  une compréhension de l'islam réduite à la spiritualité. 

2 ème dérive,  en négligeant la spiritualité en se coupant de Dieu. 

3 ème dérive,  c'est que notre engagement, soit virtuel.  

 

 

Si on est en permanence dans le sens du changement,  on ne change pas. 

Si je me change intérieurement,  les choses peuvent changer.  
Le Prophète ( sallala alleyi wa salem ) nous demande de se tourner dans le sens du Coran. 

Si nous avons compris le sens,  alors, la balance des bonnes actions pèseront lors du jugement dernier.  

 

 

 On peut être engagé collectivement,  nous pouvons dire,  nous avons réussi.  Islamiquement, nous avons réussi.  Dans l'engagement,  c'est nous,  ce n'est pas je. 

Nous sommes qu'un seul corps,  nous avons besoin de tout le monde.  
Parmi les dérives,  il y a la concurrence négative. 

Dans mon engagement, la concurrence doit être positive.  Je fais ça pour plaire à Dieu. 

Soyez critique envers vous même,  comme vous le serez envers les autres.  
Certains commencent le discours de "haram" en disant : "subhanallah". 

 

 

Il peut y a avoir des personnes très engagées quand elles sont sous la lumière.  
On n'est pas indispensable.  C'est l'amour de la responsabilité.  C'est de s'engager d'avoir une poste,  président. C'est la dérive de la quantité par la qualité.  C'est quand on oublie Dieu. 

Et si on vide les textes de leurs sens,  on oublie la qualité.  
Quelque soit l'engagement dans lequel nous sommes impliqués, est ce que l'on s'est préoccupé d'avoir invoqué Dieu. 

 

 

Quelle vision avons nous de notre engagement,  comment voyons nous les choses ? 

 

 

La vision du monde,  détermine notre engagement.  Quel va être notre engagement ?

C'est la vision de mon islam.  L'engagement pour le groupe doit rayonner d'espoir. 

Je m'engage pour être positif.  
Ne mourrez qu'en ayant la meilleure vision de Dieu. 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


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