Faire ensemble, vivre ensemble, agir pour la Paix

« Si Dieu l’avait voulu, il aurait fait de vous une seule communauté. Mais il a voulu vous éprouver par le don qu’il vous a fait. Cherchez à vous surpasser les uns et les autres par les bonnes actions. Votre retour à tous se fera vers Dieu, il vous éclairera au sujet de vos différends » (Sourate 48-verset 5).

posté le mercredi 30 mai 2018

le 30 05 2018 : Colloque Entreprises, territoires et interculturalité organisé par le groupe de réflexion "Entreprises et religion

 

 

 Colloque Entreprises, territoires et interculturalité organisé par le groupe de réflexion "Entreprises et religions", commission "problématique et méthode"  à l'Amphi Mérieux, Campus St Paul

 

 

 Durant les six dernières années, le séminaire « Entreprises et Religions » de l’UCLy s’est attaché à étudier l’émergence du fait religieux dans l’entreprise, ses régimes de lisibilité et les modalités de son interpellation du monde entrepreneurial. De Beyrouth à Dakar, en passant par Tunis, Istanbul, Bruxelles, Montréal et Singapour, l’interprétation du phénomène religieux en entreprise pose chaque fois la question d’une inventivité qui transforme les représentations et bouscule les préjugés.

 

 

 

 

À l’heure de la mondialisation, marquée par l’ouverture des frontières économiques, l’entreprise doit gérer l’impact d’une immigration porteuse de traditions et de cultures différentes. L’appropriation symbolique du lieu de travail et les manières de personnaliser son espace en y affichant par exemple ses convictions religieuses peuvent être perçues parfois comme une incompréhension, voire une menace et une violation de l’espace de l’autre.

 

 

 

 

 

 

 

  

 

 

 

 

 Dans ce contexte d’ouverture et de crispation autour des phénomènes culturels et religieux,ce colloque vise à faire rencontrer des acteurs d’entreprises et des chercheurs universitaires  appartenant à des espaces sociaux et culturels différents.

En s’adressant à des acteurs d’entreprise et des universitaires impliqués dans la réflexion managériale et dans les transformations profondes des sociétés contemporaines, il tentera de répondre à certaines des questions fondamentales sur la manière d’aborder l’altérité et les modalités de gouvernance des diversités. 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 Comment s’expriment les identités culturelle et religieuse dans les organisations de travail ?

L’entreprise est-elle un territoire que la religion est en train de gagner ? Quelles modalités faudra-t-il mettre en place lorsqu’il s’agit de concilier des revendications cultuelles avec les règles du droit du travail ?

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 
 


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posté le mercredi 30 mai 2018

le 29 mai 2018 : Iftar des Convertis à la Mosquée Othmane de Villeurbanne

 

 

 

 

 Iftar des Convertis, repas de ruture de jeûne, à la Mosquée Othmane de Villeurbanne, en présence d'une quarantaine de convertis à l'islam et de deux récitateurs lybiens du Saint Coran

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  
 


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posté le lundi 28 mai 2018

le 27 mai 2018 : Conférence du Ramadhan à la Mosquée de Givors sur le thème :  « L'amour d'Allah » avec Cheykh Mohammed Minta ( Im

 

 

 Conférence du Ramadhan à la Mosquée de Givors sur le thème :  « L'amour d'Allah » avec Cheykh Mohammed Minta ( Imam de la Mosquée de Decines Charpieu )

 

 

 Pour l'amour d'Allah ( Soubhanallah Wa ta Allah ).  Le seul qui mérite d'être adoré,  c'est Allah et personne d'autres.  L'adoration est d'aimer d'un amour sans limite.  L'adoration repose sur les piliers de la foi. Aimer sans limite,  celui qui le dit,  c'est un hypocrite.  Adorer Allah,  c'est se soumettre à Allah. Le deuxième pilier,  c'est la soumission.  Pour aimer Allah, il faut l'aimer d'un amour sans limite, il fait parti des exigence de la foi.  C'est Al Shahada,  c'est la profession de foi,  c'est la clef des conditions d'aimer Allah ( Soubhanallah Wa ta Allah ).

 

 

 Quand on la récite,  c'est en connaissance de cause, on ne peut pas la réciter sans en avoir l'intention et la conviction.  

 

 

 Implore le pardon avant de te soumettre,  si on implore en dehors e lui, nous n'aurons pas l'intercession,  le Prophète ( Sallallah Aleyi Wa Salem ) demande que celui qui meure sans avoir réciter Al Shahada,  n'ira pas au paradis.  Il faut en avoir la certitude,  la conviction, il faut dire que nous sommes soumis,  le vrai croyant,  c'est celui qui crois en Allah et son Messager.  Il faut avoir la certitude de la foi.  Il faut accepter les exigences, les conditions. Quand on dit "La Illah illallah, Mohamed Rasoullalah". Je suis convaincu de ce que je dis et j'accepte les conditions de soumission à Allah,  tout en étant bienfaisant. 

 

 

Il faut être véridique,  ce que l'on dit avec la langue, on le dit aussi avec le coeur.  
Dans le coeur, il y a la maladie de l'hypocrisie,  parce que il ya des gens qui n'ont pas cette sincérité.  Il faut être sincère,  c'est une des conditions pour aimer Allah.  Le véritable adorateur d'Allah,  c'est celui qui est sincère et qui est soumis à Allah.  
Allah et son Messager doivent être aimé sans aucune condition, plus que tout.  

 Aimer,  ses parents, ses enfants, ses proches, la demeure que l'on a construit,  c'est naturel.  

 

 

 Mais aimer Allah et son Messager, c'est déjà aimer le goût de la foi.

Le Prophète ( Sallallah Aleyi Wa Salem ) nous indique qu'il y a 3 conditions pour aimer Allah rien que pour lui.  Dans L'adoration, on va trouver son bonheur, la quiétude.  Quand nous sommes dans le soucis et dans la peine, on ne se tourne vers la prière. Car la prière nous connecte directement avec Allah ( Soubhanallah Wa ta Allah ).  Nul en dehors d'Allah, ne mérite d'être aimé.  

 

 

 On aime le bienfaiteur pour ses bienfaits. Pour aimer Allah, il faut s'aimer soi même.  Tout ce que l'on aime,  c'est pour Allah,  la vie, c'est un de bienfaits d'Allah, la santé, c'est un bienfaits d'Allah.  Le bienfaiteur,  c'est  Allah , le plus beau dans ces actes,  c'est Allah.  Toutes choses qui sont belles,  viennent d'Allah ( Soubhanallah Wa ta Allah ).  

 

 

 Il faut aimer Allah par ses noms et ses attributs,  c'est une meilleure façon d'aimer Allah.  Allah vous a comblé de ses bienfaits apparents et cachés.  Ya Allah, merci pour tes bienfaits et tes faveurs. Le fait d'invoquer Allah,  nous remplis le coeur. 

 

 

 

  
 


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posté le dimanche 27 mai 2018

le 27 mai 2018 : Les rencontres du Ramadan à la Grande Mosquée de Lyon sur le thème: « S'en remettre à Dieu ou compter sur soi ? »

 

 

 Les rencontres du Ramadan à la Grande Mosquée de Lyon sur le thème: « S'en remettre à Dieu ou compter sur soi ? » 

 

 

 


 Présentation de la rencontre par  Kamel Kabtane

(Recteur de la Grande Mosquée de Lyon et Président de l'institut Français de Civilisation Musulmane)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


 Abdallah Dliouah

(Imam de la Grande Mosquée de Valence)

 

 

 Beaucoup de musulmans pensent que croire au destin,  qui est un des 6 piliers de la foi, souvent souffrir,  c'est un manque de respect vis à vis de Dieu.

 

 

 Les causes font parties du destin. Un verset du Coran nous dit de faire confiance en Dieu. Dieu nous dit de faire des choses,  mais elles ne sont pas toutes accessibles à notre niveau. 

 

 

 Agir et faire confiance,  mais ne jamais s'insurger contre Dieu.  L'homme qui a la foi,  met sa confiance en Dieu.  Même quand on a peu de moyens,  autant les utiliser à bon  escient.  Le corps fourni les moyens,  il y a la confiance en Dieu,  c'est le coeur. 

 

 

 Ai je fourni tous les efforts que Dieu me demande ?  Prenons l'exemple du mariage,  c'est le destin, chercher et Dieu vous facilitera.  C'est comme la patience, il y a la patience passive et la patience active. 

 

 

 


Le Père Régis Charre

(Curé de la paroisse l'Epiphanie des Minguettes à Venissieux)

 

 

 Tout faire comme si tout dépendait de soi, selon Saint Ignace de Loyola.  Quel que soit notre âge,  comme un enfant, il dépend de ses parents,  et en particulier de son père,  pas de repli sur soi, pas de suffisance. 

 

 

Est ce que je mets ma confiance en Dieu.  Pour nous chrétiens,  il y a l'esprit Saint,  c'est la parole de Dieu.  S'en remettre à Dieu,  c'est accueillir l'esprit saint.  Amour, patient, paix. Vérifier si ce n'est pas mon égocentrisme qui me guide.

 

 

 S'en remettre à Dieu ou compter sur soi même parle du sacrement du baptême.  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


Françoise Sternberger

(Pasteure de l'église Protestante d'Oullins) 

 

 

S'en remettre à Dieu,  c'est compter sur sa grâce,  d'une façon inconditionnelle. S'en remettre à Dieu,  c'est remettre sa vie dans les mains de Dieu,  par l'accueil et le pardon. 

 

 

 S'en remettre à Dieu,  c'est cette relation verticale que nous avons vis à vis de Dieu.  

 

 

On devient responsable,  c'est d'articuler les deux, l'axe vertical et l'axe horizontal en étant fidèle aux préceptes que Dieu nous insuffle.  La responsabilité,  c'est aussi de lire les écritures, le protestant est responsable de ses actes.

 

 

La responsabilité,  c'est aussi de lire les écritures, le protestant est responsable de ses actes.  Quand tous les chrétiens, catholiques et protestants,  récitent le Notre Père avec cette phrase qui a été changé : "Ne nous laisse pas entrer en en tentation".

 

 

 


 le Rabbin Raphaël El Haddad

(de la Synagogue de Bron)

 

 

 Le verset de la genèse,  Dieu se reposa de toute son oeuvre qu'il a créé.  Il y a cette révélation,  où l'homme vit un dilemme et attend tout de Dieu.  Il faut qu'il intervienne.  Les 3 associés de la création de l'homme,  c'est ton père,  ta mère et moi. 

 

 

 Je dois faire ma part et compter sur Dieu ou alors,  je peux dire j'ai confiance à Dieu et je m'en remets à toi. 

 

 

 Quelle est la priorité ? En Israël,  dans un hôpital il y a un écriteau qui dit : "Je soigne et c'est Dieu qui guéri".  Jusqu'où Dieu peut intervenir ? Ou,  jusqu'où l'homme intervient.  C'est à nous d'intervenir dans notre effort.

 

 

 Connais Dieu dans tous ses chemins.  C'est le terrain d'exercice du croyant.  Tout ce qui se passe,  c'est Dieu qui intervient,  on vit des événements du quotidien. Dieu réalise tous nos voeux de la terre.

 

 

 


 Yahia Christian Bonaud

(Islamologue traducteur et commentateur du Saint Coran)

 

 

L'homme se réalise entre la sacralité et la conjonction de la spiritualité.  Faut il mette des grandes idées en question.  Qu'est ce que je dois faire. Compter sur moi ou m'en remettre à Dieu. 

  

 

 Nos fermes intentions se retrouvent brisées.  En me remettant à Dieu,  je peux alors entreprendre.  Il me suffit pour croire pour me sauver.  Il me suffit comme fierté d'être ton serviteur,  d'être ton esclave.  Tout le projet d'une vie humaine qui définit toute raison de faire le bien,  de progresser. 

 

 

 Celui qui l'a compris,  peut suivre son seigneur.  C'est l'histoire de la vie de Moise.  Avec la fuite en Égypte,  comme l'est indiqué dans la Bible et l'ancien testament. 

 

 

 Utilise les causes,  n'en sois pas celui qui les subit.  Remettre sa confiance entièrement à Dieu,  c'est celui qui se confie à Dieu.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  
 


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