Rencontre Avec Des Écolières Et Écoliers De Gaza Organisé par Collectif 69 de Soutien au Peuple Palestinien et Palestine en vue à la Maison des Passages 44 rue Saint Georges à Lyon 5 ème avec leur accompagnateur, enseignant le français.
Profitant de leur voyage en France,(ce qui est exceptionnel), nous avons l'occasion de parler avec eux de l'éducation et de la vie quotidienne dans les conditions du blocus de Gaza, qu'ils ont pour la plupart toujours connu.
La situation à Gaza est catastrophique . Nous assistons à une détérioration des conditions économiques, sociales et sanitaires dans cette prison à ciel ouvert. la situation empire, rien ne bouge.
Pour plus de deux millions habitants toujours enfermés elle reste très grave à tous les niveaux. Les rues commerçantes sont vides et le pouvoir d’achat est en en chute permanente Beaucoup de magasins ont annoncé leur faillite totale.
Beaucoup d’usines sont fermées actuellement faute d’électricité , sachez que les foyers de Gaza n' ont le droit qu' à quatre heures d’électricité par jour. Sur le plan économique, la situation ne cesse de s’aggraver avec les conséquences dramatiques du blocus et des mesures locales qui ont causé l’augmentation du chômage, et du niveau de pauvreté, sans oublier l’incapacité de bâtir une véritable économie dans la Bande de Gaza.
En janvier 2018, le taux de chômage à Gaza dépasse les 73% de la population civile. La pauvreté est 85% de la population de Gaza qui vit en dessous du seuil de pauvreté Une situation jamais vue dans cette région en souffrance permanente.
Beaucoup d’enfants palestiniens notamment à Gaza souffrent d’insuffisance rénale. Ils doivent passer tous les jours plusieurs heures à l’hôpital pour subir des dialyses.
Pour pallier à leurs absences des écoles, une opération de transformation de la salle de dialyse en salle de classe se pratique au sein de l’hôpital même à Gaza afin de permettre à ces enfants de suivre leur scolarité normalement comme tous les autres enfants. Ils y apprennent différentes matières et oublient momentanément leurs douleurs.
Cérémonie de clôture des Écoles Buissonnières de Lyon et de Vaulx-en-Velin, à l'Athanor, 2 rue Commarmot à Lyon 1 er
Cet événement s'inscrit dans le cadre des écoles Buissonnières de Lyon et de Vaulx-en-Velin, projets initiés par Les Cités d'Or et co-portés par 11 acteurs de l'éducation populaire et de la jeunesse du territoire ainsi que par la Fédération des Centres sociaux du Rhône.
Ce projet a été réalisé grâce au soutien financier de la Fondation Abbé Pierre, du Commissariat Général à l’Égalité des Territoires(CGET) de la Fondation Gatte fossé de la Fondation BNP Paribas de la Fondation Solidarités Crédit Agricole Centre Est et de la Ville de Lyon.
Olivier AILLAUD, directeur de l'Espace Projet Inter associatif (EPI),
Mesudiye BEDIR, directrice de la Maison des Dialogues,
Isabelle BLOCHERLEBROU,responsable de l'espace CARCO,
Anne DUFAUD, directrice de la Mission Locale de Vaulx-en-Velin,
Matthieu GARNIER, directeur du Centre social Bonnefoi,
Marie GALICHET, directrice de l'Arche de Noé,
Pascale GAUTIER, déléguée générale de la Fédération des Centres sociaux du Rhône,
Jean-Loup JAMIN, président de l'association La Manoeuvre, Isabelle KUNTZ, directrice du CRIJ Rhône-Alpes
Karim MAHMOUD-VINTAM, délégué général des Cités d'Or,
Frédérik METAYER, directeur du Centre social Pierrette Augier de Vaise,
Sylvain PARATTE, directeur du Centre social Quartier Vitalité
Aîcha RAMDANI, présidente de l'association FRAMETO
La vie est faite d’épreuves, de choix, de renoncements, de sursauts, de
rencontres.
Qu’allez-vous, qu’allons-nous retenir de ces 6 mois ?
J’ai choisi d’en retenir une chose : qu’il est difficile, mais qu’il est exaltant, de
construire une communauté.
Difficile parce que c’est un effort quotidien pour entretenir une unité de sens
et une unité d’action entre des personnes issues d’horizons et porteuses
d’intérêts les plus divers.
Difficile parce qu’il ne s’agit pas de penser dans le même sens mais de pousser
dans le même sens.
Nous en faisons tous l’expérience à l’échelle d’une famille, d’une école
buissonnière, d’une association, d’une société.
Et en définitive, ce qui compte, c’est la confiance, en soi, en l’autre, en l’avenir,
et la persévérance. Et votre présence ici, ce soir, que vous soyez volontaire,
accompagnant, soutien ou sympathisant, est la marque de votre confiance et
de votre persévérance, qui est déjà en soi une victoire.
Puisse cette cérémonie nous rappeler le sens de ce qui nous réunit :
Pour les jeunes, célébrer non pas la fin d’un parcours qui fut parfois éprouvant,
mais le début d’une aventure qui s’appelle autonomie et citoyenneté.
Pour nous tous, il s’agit de cheminer ensemble pour devenir :
toujours plus authentiques, c’est-à-dire toujours plus alignés entre nos
pensées, nos paroles et nos actes ;
toujours plus justes, au sens de la justice comme de la justesse ;
toujours plus vrais, c’est-à-dire porteurs d’un sens qui interpelle, qui
provoque, qui nourrit, qui irrigue, et qui transforme.
Je vous remercie.
Chaque année le 18 juillet, jour de la naissance de Nelson Mandela, l’ONU appelle les individus partout dans le monde à commémorer la Journée internationale qui lui est consacrée. Chacun d’entre nous a la possibilité et la responsabilité de changer le monde pour le rendre meilleur, et la Journée internationale de Nelson Mandela est l’occasion d’agir et d’inspirer ce changement.
A cette occasion, le collectif Africa 50 organise un événement sur l'esplanade Nelson Mandela Lyon 3e.
Annimation assurée par Jean-Eric SENDE
Membre élu au Comité Directeur de l’Office des Sports du 7 éme arrondissement de Lyon
Chargé de Mission Mémoire et Histoire de l’Esclavage pour le Collectif Africa50
Président de l’association Jeunesse Arts Culture et Sport en Liberté
Programme :
Prise de paroleDépôt de gerbesAnimation musicaleVerre de l'amitié
Roger Koudé Magloire Guelnodji Koussetogue
(Maître de Conférences Vice-Doyen de la Faculté de Droit, Sciences économiques et sociales de l’UCLY Enseignant-Chercheur en Droit international à l’Institut des droit de l’homme de Lyon (IDHL) Chercheur à la Chaire UNESCO « Mémoire, Cultures et Interculturalité » de l’Université catholique de Lyon Coordinateur scientifique de la Revue Études Interculturelles)
Le 18 juillet correspond à la date d'anniversaire de Nelson Mandela.
Jean-Paul Gabarre
Religieux franciscain, puis officier pendant la guerre d'Algérie, Jean Paul Gabarre fait carrière dans la Communication, principalement entre entreprises industrielles. L'importance qu'il accorde au langage l'amène à conceptualiser et à éprouver une méthode qui permet de formuler plus correctement que cela n'était fait jusqu'alors les offres technico-commerciales, puis à comprendre comment, de l'extérieur, il est possible d'aider efficacement – et rapidement – les personnels à améliorer leurs relations à l'intérieur de l'entreprise. Quand il quitte le monde professionnel (il y a 25 ans), il se consacre à l'étude du langage des évangiles : il y retrouve le sens réel des expressions qu'utilisait Jésus et... « ce que ce visionnaire projetait véritablement ! » Découverte, ô combien d'actualité, à laquelle il nous fait participer progressivement tout au long des trois tomes de A la recherche de l'essentiel.
Nous avons clôturé cette soirée par un dépôt de gerbe, la chanson « Asimbonanga » pour rendre hommage à Jonathan Clegg, chanteur engagé contre le régime séparatiste en Afrique du Sud qui nous a quitté en début de semaine.
Asimbonanga
Dialogues en humanité dans le parc de la Tête d’Or
Des milliers de personnes de toutes origines, cultures, convictions et parcours de vie sont au rendez-vous de la 19ème édition des Dialogues en humanité qui se tiennent du 5 au 7 juillet 2019 dans le parc de la Tête d’Or et dans le Vieux Lyon.
Les échanges cette année sont placés sous le thème “Racontons-nous demain”:une invitation à découvrir, réfléchir, apprendre les uns des autres et inventer un “mieux vivre ensemble” au sein de nos familles, notre quartier, notre société, notre planète.
Avec pour ambition de découvrir ce qui fait obstacle à la bienveillance, à l’équité, à la justice, à la paix, et à préserver le climat pour tous les habitants de la terre.
Ce qui revient à interroger qui nous sommes, ce qui rend nos sociétés toxiques et met notre monde en danger, comment les individus et communautés structurent les rapports entre eux et avec la nature,
et à trouver les multiples chemins du «bien vivre».
Les Dialogues en humanité s’articulent autour d’un programme varié. Il offre matière à faire des découvertes, se comprendre et apprendre à mieux vivre ensemble
Il regorge d’incitations à réfléchir et dialoguer sur de nombreuses questions d’actualité et sur des thèmes qui interrogent qui nous sommes et comment les individus et communautés structurent les rapports entre eux et avec la nature.
Il permet de découvrir de multiples initiatives prises dans divers pays sur tous les continents pour bâtir un monde plus équitable. Il donne à voir et prendre part à diverses performances artistiques, ainsi qu’à s’immerger dans quelque 150 ateliers gratuits.
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